agroforesterie

Le Fonds pour l'arbre distingue huit opérateurs des Hauts-de-France

Le Fonds pour l'arbre distingue huit opérateurs des Hauts-de-France

Initié par le réseau pour l’arbre et la haie l’Afac-Agroforesteries et la Fondation Yves Rocher, le Fonds pour l’arbre a dévoilé les 86 opérateurs sélectionnés dans l’Hexagone suite à son appel à projets "Plantation, gestion, filières : soutenir les actions pour l’arbre et la haie dans nos territoires". Dans les Hauts-de-France, ce sont huit acteurs qui s’engagent aux côtés des agriculteurs pour préserver la plantation des arbres et des haies.

L'agroforesterie pour s'adapter au changement climatique

L'agroforesterie pour s'adapter au changement climatique

Encore méconnue, la pratique de l'agroforesterie revêt pourtant de nombreux avantages. Adrien Messéan, éleveur dans le sud de l'Aisne, membre de l'Association française d'agroforesterie (AFAF) la pratique depuis plusieurs années et n'y voit que des atouts. Cet éleveur de vaches limousines a planté en vingt ans environ 3 000 arbres et arbustes sous forme de haies. Leur présence permet d'enrichir les sols en matière organique, de nourrir ses vaches en période de sécheresse ou encore de limiter le ruissellement des eaux de pluie et de permettre une meilleure infiltration de celles-ci.

L'agroforesterie, les enjeux pour les années futures

L'agroforesterie, les enjeux pour les années futures

La fondation Earthworm a organisé une journée consacrée aux enjeux de l’agroforesterieÉlus, entreprises agroalimentaires, coopératives ou encore banques intéressés par cette agriculture de régénération des sols sont venus écouter Jean Harent, agriculteur en agroforesterie depuis 2019 à Sauvillers-Mongival, près de Moreuil. Tous ont le même objectif : prendre part à la transition agroécologique.