Avec la globalisation toujours plus systémique depuis le début des années 2000, les entreprises deviennent de plus en plus importantes et s’adaptent à un monde qui évolue très vite. Face à ces groupes internationaux que l’on pourrait parfois juger trop importants, les PME et ETI (entreprises de taille intermédiaire) familiales tirent leur épingle du jeu en termes de protection d’activité, de rentabilité et de pérennité. Elles défendent les valeurs de l’entrepreneuriat. Toutefois, elles restent soumises à un aléa, celui des marchés boursiers dont elles dépendent et, corrélativement, de leur secteur d’activité. Dans quelle mesure ces entreprises familiales régionales résistent-elles plus ou moins face aux marchés boursiers ? Analyse.