L'une après l'autre, les banques italiennes se défilent. Au lieu d'acquitter la taxe de 40% sur leurs "surprofits" instaurée par le gouvernement Meloni, elles préfèrent mettre de côté des milliards d'euros pour renforcer leurs réserves...
L'une après l'autre, les banques italiennes se défilent. Au lieu d'acquitter la taxe de 40% sur leurs "surprofits" instaurée par le gouvernement Meloni, elles préfèrent mettre de côté des milliards d'euros pour renforcer leurs réserves...