Le gouvernement italien dirigé par Giorgia Meloni a eu beau corriger le tir en édulcorant sa taxe sur les "surprofits" des banques, le mal est fait: la confiance des investisseurs étrangers, effarés par cette...
carlo-messina
L'une après l'autre, les banques italiennes se défilent. Au lieu d'acquitter la taxe de 40% sur leurs "surprofits" instaurée par le gouvernement Meloni, elles préfèrent mettre de côté des milliards d'euros pour renforcer leurs réserves...