«L’activité est bonne ! Ce qui nous pénalise le plus, c’est le manque de matières premières et surtout le risque réel de rupture.» À l’instar de ce professionnel meurthe-et-mosellan du Bâtiment version second œuvre, l’ensemble des secteurs doit aujourd’hui faire face à une pandémie de manque cruel de matières premières.