Repar’stores débarque sur l’arrondissement de Lens

Le réseau Repar’stores officie désormais sur l’arrondissement de Lens par l’intermédiaire de Camille Jung, qui a opéré un changement de carrière à 180 degrés, quittant le marketing pour créer sa propre entreprise et se lancer dans un métier manuel.

Camille Jung a fait le choix de la franchise, il officie sur le lensois et se laisse trois mois pour atteindre un seuil de rentabilité.
Camille Jung a fait le choix de la franchise, il officie sur le lensois et se laisse trois mois pour atteindre un seuil de rentabilité.
ACT'Presse

Camille Jung officie sur le Lensois et se laisse trois mois pour atteindre un seuil de rentabilité.

Camille Jung n’a que 27 ans, de l’ambition a revendre et l’envie d’aller de l’avant. Alors qu’il était salarié d’un service marketing dans une entreprise de la métropole lilloise, il décide d’entamer une carrière de chef d’entreprise : «J’avais besoin de travailler dans un domaine plus manuel. En parallèle, j’ai toujours voulu créer une entreprise.»
Les choses se sont réellement décantées lorsqu’il a eu besoin de trouver un prestataire pour faire motoriser un volet roulant pour ses parents et qu’il n’a rien trouvé d’abordable. «Plusieurs menuisiers nous ont fait des devis, mais les prix étaient réellement trop élevés», précise-t-il. Camille Jung avait détecté là un marché sur lequel il pouvait se lancer car répondant parfaitement à ses attentes.
«C’est en regardant sur le Net des sites de franchise que je suis tombé par hasard sur Repar’stores», poursuit-il. Après une phase de réflexion de quelques mois et un rendez-vous avec les représentants de l’entreprise, Camille Jung franchit le pas. «Je suis donc allé suivre une formation de six semaines au siège de Repar’stores, afin de connaître l’ensemble des rouages du métier de réparateur de volets et de stores.» En novembre dernier, il créait l’EURL Gohelle volets services.

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A l’intérieur de son camion, le jeune homme dispose des pièces les plus courantes, ce qui lui permet d’intervenir rapidement chez ses clients.

Lens et alentours. Camille Jung utilise bon nombre de notions de son ancien travail, notamment dans les aspects de gestion : «L’approche commerciale est également très proche de ce que je faisais déjà, il s’agit juste d’une évolution.»
Sans politique de prix agressive, l’entreprise propose un juste rapport entre qualité et prix pour ses différentes prestations, qui vont du simple entretien des volets au changement de pièce, en passant par la motorisation complète d’un volet qui ne l’était pas. Elle intervient aussi sur des portes de garage enroulables et éventuellement les stores bannes. «Nous nous adaptons avant tout aux demandes des clients. Nous faisons du prix, mais aussi et avant tout beaucoup de conseil.»
Ce qui fait également la force du réseau, c’est qu’il intervient sur toutes les marques et tous les types de volets. D’ailleurs dans leur véhicule, les franchises
Camille Jung a acheté le droit d’exercer sur Lens et les communes environnantes, un secteur de 130 000 habitants avec un fort potentiel de développement. «Je suis actuellement en phase de rodage, aidé par la campagne de publicité nationale lancée par le groupe sur France Télévisions et Canal +.» Le jeune homme se laisse trois mois pour atteindre un seuil de rentabilité et installer durablement son activité. Sa structure est légère : pas de locaux, juste un camion dans lequel il dispose de l’ensemble des éléments nécessaires pour effectuer les travaux et réparations chez ses clients.
A l’échelle de la région, la franchise Repar’stores est déjà présente sur Armentières et Lambersart. Dans quelques mois, elle ouvrira sur Lille et Dunkerque.