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Lynda Driad, fondatrice de LDR Synergie, fait vivre ses passions au travers le coaching et la formation
Lynda Driad, fondatrice de LDR Synergie, fait vivre ses passions au travers le coaching et la formation

Lynda Driad, fondatrice de LDR Synergie, fait vivre ses passions au travers le coaching et la formation

Nom : LDR Synergie. Localisation : Nancy. Effectif : 1. CA : non communiqué. Signe particulier : double compétence, le coaching et la formation.

Après un parcours professionnel de plusieurs années dans la recherche fondamentale, et une expérience réussie de dix ans en tant qu’expert en géophysique pour le secteur minier, c’est en 2010, qu’elle s’oriente vers un master en management et découvre le métier de coach. «Les valeurs, l’équilibre, et la certitude d’être utile» lui donnent l’envie de se lancer. Lynda Driad, crée alors sa société LDR Synergie en 2014, et fait vivre ses passions au travers le coaching et la formation. Elle propose plusieurs types de prestations complémentaires dédiées «aussi bien aux grands groupes qu’aux PME» et également aux particuliers. S’adapter et aider à se projeter dans l’avenir La gérante accompagne la personne en «valorisant son potentiel et en s’appuyant sur ses propres ressources» par un changement de ses habitudes et de son comportement. Pour progresser la personne doit intégrer le concept à travers différentes étapes : «la vision, la définition des objectifs et options, les choix à retenir, la détermination des freins». Lynda Driad effectue des missions pour une clientèle variée, mais cible principalement «les grandes écoles et les grands groupes de services ou du secteur de l’énergie». La gérante a rejoint le réseau BNI, lui apportant «beaucoup, d’un point de vue humain et relationnel». Particulièrement sollicitée pour le coaching, celui-ci représente près de 60 % de son activité (contre 40 % pour les formations). Lynda Driad souhaite développer et pérenniser son entreprise par la mise en place d’un partenariat avec des collaborateurs, en adoptant «une logique d’économie circulaire».

camille.schaub