Point C devient In Extenso Création Reprise
Le service d’accompagnement à la création et à la reprise d’entreprises Point C a organisé un événement le 27 juin dernier à Lesquin. L’occasion de parler des dernières actualités de la ligne de service du groupe In Extenso.
Un événement a été organisé par le service d’accompagnement à la création et à la reprise d’entreprises Point C, propriété d'In Extenso, le 27 juin dernier à Lesquin pour annoncer son changement d'identité. «À partir de la semaine prochaine, nous nous nommerons In Extenso Création Reprise», a introduit Nicolas Lafon, référent national Point C et Expert conseils. Ce changement doit donner plus de visibilité au service. «Avoir 'In Extenso' dans notre naming c’est un gage de confiance et de qualité. Cela nous tenait à cœur de mettre autant en avant la création que la reprise. Aujourd’hui encore, trop de porteurs de projets pensent que nous nous occupons uniquement des dossiers de création», a-t-il poursuivi.
200 porteurs de projets accompagnés chaque année
L’équipe d’In Extenso Création Reprise est composée de 10 salariés. Elle accompagne différents types de projets. «Dernièrement, nous avons accompagné Maxence Boulant, qui a ouvert son restaurant italien à Lille, nommé le Squadra. Auparavant, il était directeur d’un magasin Carrefour», a donné pour exemple Nicolas Lafon. Chaque année, 500 porteurs de projets sont accompagnés par In Extenso Création Reprise et 200 entreprennent réellement.
Indirectement, le service participe à l’emploi dans la région. «Nous avons mené une étude. En moyenne, deux emplois sont créés par nos porteurs de projets», ajoute le responsable national. De plus, 90% des entrepreneurs qui ont fait appel aux services de Point C sont encore en activité au bout de trois ans.
Changements de statuts
Dès l’année prochaine, In Extenso Création Reprise va devoir manœuvrer avec de nouvelles contraintes. «Nombreux sont les entrepreneurs qui ont le statut de travailleur non salarié (TNS). Ainsi, durant 18 mois, ils perçoivent le chômage à 100%. Ce qui n’est pas négligeable lorsque l’on se lance. Bientôt, ce ne sera plus le cas. Ils ne percevront que 70% du chômage la première année». Les 30% restants seront lissés sur la deuxième année en fonction de si, oui ou non, l’entrepreneur a pu percevoir un salaire via son entreprise. «Nous allons redoubler de vigilance pour conseiller au mieux nos porteurs de projets», affirme encore le responsable national d’In Extenso Création Reprise.