Des clients et un chiffre d’affaires au rendez-vous

Le Furet s’est très vite positionné pour investir Dunkerque. Cela s’est finalement fait en novembre 2013 à la grande satisfaction des Dunkerquois, qui ont répondu présent dès le premier jour.

L'équipe du Furet Dunkerque a le sourire: le magasin est déjà dans ses objectifs
L'équipe du Furet Dunkerque a le sourire: le magasin est déjà dans ses objectifs

 

D.R.

L'équipe du Furet Dunkerque a le sourire : le magasin est déjà dans ses objectifs.

Quand Virgin a décidé de fermer ses concept stores à travers le pays, ça ne s’est pas fait sans bruit. A Dunkerque, le rideau de fer s’est baissé définitivement en juillet 2013, laissant plus de 1 300 m² de surface vacante en plein centre commercial et des milliers de Dunkerquois décontenancés, car Virgin Dunkerque tournait très bien. En coulisses, le Pôle Marine œuvre pour faire revenir une enseigne culturelle. Le Furet du Nord décroche finalement le contrat, faisant de Dunkerque sa 16e agence régionale, la 20e de l’enseigne1, et investit rapidement les lieux. «On a eu le feu vert en octobre et six semaines plus tard on ouvrait le magasin, rapporte Eric Lemiègre, directeur du Furet du Nord Dunkerque. Les délais étaient très courts, c’était un très beau challenge que toute l’équipe (15 personnes, dont 4 anciens de Virgin) a relevé avec succès.» Le jour de l’ouverture, les clients étaient au rendez-vous. «Les gens étaient en attente, il y avait une grosse demande en produits culturels depuis la fermeture de Virgin. Les clients ont donc répondu présent, et le chiffre d’affaires aussi», se félicite le directeur du magasin. Une fois les grilles levées, les Dunkerquois ont pu découvrir 1 300 m² de surface de vente réaménagés selon les codes du Furet, autrement dit «un magasin agréable, avec un parcours client des plus intelligents», une mise en scène de gondoles basses offrant une vue à 180° sur l’ensemble du magasin, et des univers repérables dès l’entrée. «Le client peut identifier tout de suite le secteur qui l’intéresse», poursuit Eric Lemiègre. Cœurs de métier de l’enseigne, la librairie et la papeterie − «deux secteurs qui tirent le magasin» − occupent une majeure partie de l’espace. Mais Le Furet propose également de la vidéo, du multimédia, notamment tout ce qui rentre dans la catégorie des accessoires de jeux vidéo, des CD «avec des linéaires plus petits, mais une offre aussi dense puisqu’on a plus de 4 500 références en disques», précise le responsable des lieux. Enfin, dans l’aile qui s’ouvre sur le bassin du Commerce, un univers de 250 m² entièrement dédié aux loisirs créatifs propose tout pour les amoureux des beaux-arts, du scrapbooking, de la pâte à sel et autres travaux manuels. «C’est un nouveau concept développé par Le Furet et qu’on a mis en place ici dès l’ouverture du magasin. C’est un créneau porteur, qui intéresse énormément la clientèle.» Un dernier plus apporté par l’enseigne sur le Dunkerquois : les séances de dédicace. «On a commencé avec François Reynaert, écrivain et journaliste de Dunkerque et parrain du magasin, puis on a reçu le finaliste de Top Chef et Florence Cassez. Et, si tout va bien, Michel Drucker sera le prochain», conclut Eric Lemiègre, plein d’enthousiasme.

 

 

 

  1. Depuis 18 mois Le Furet est aussi présent en région parisienne où le dernier de ses magasins a ouvert un mois avant celui de Dunkerque. L’enseigne compte désormais 20 points de vente : 16 en Nord-Pas-de-Calais, 4 en région parisienne.