Chez Motor Box, la qualité et la performancesont une préoccupation de tous les jours

Le concept Motor Box est né à la fin de l’année 2004 à Hénin-Beaumont. Il s’agit d’une carrosserie qui offre la particularité de rembourser la franchise à ses clients. L’entreprise qui compte aujourd’hui 22 salariés, contre 6 au départ, répare environ 160 véhicules par mois et met un point d’honneur à faire un travail de grande qualité en mettant en place une surveillance accrue et des contrôles qualité des véhicules à toutes les étapes de leur réparation. Motor Box, c’est aujourd’hui deux centres (Hénin-Beaumont et Courrière), bientôt trois avec celui de Liévin, et un réseau de franchise naissant sur le reste du territoire national.

La Gazette. Pourquoi avez-vous décidé de reparticiper à ce challenge ?

Valérie Vanacker. Nous avions participé à la première édition du challenge des Ponts d’or il y a quatre ans, et nous avions trouvé le concept et l’idée très intéressants. Cela permet d’avoir une vision extérieure sur l’activité de l’entreprise. Entretemps, nous avons fortement évolué et il était devenu primordial de nous remettre en cause personnellement, mais aussi de mesurer l’évolution de notre outillage.

Qu’avez-vous fait pour améliorer votre performance ?

Nous essayons d’impliquer le plus possible notre personnel : en le formant (technique et commercial), en faisant des présentations mensuelles des résultats de l’entreprise, et en mettant en place des challenges collectifs sur la performance. Les salariés sont également intéressés financièrement par rapport à la qualité du travail qu’ils fournissent et à leur productivité. Dans un tout autre registre, nous avons fait le choix de la mise en place d’un système flexible de paiement et d’adaptation de nos capacités de travail en fonction des besoins de nos clients.

Qu’attendez-vous de la participation de cette année ?

Comme tout dirigeant d’entreprise, nous avons besoin de lever la tête du guidon pour continuer à progresser. Nous attendons donc beaucoup de cette deuxième participation. Nous souhaitons pouvoir mesurer l’évolution sur les quatre années, mais aussi savoir si la satisfaction de nos clients est toujours aussi importante. Nous souhaitons également nous mettre en relation avec les autres participants pour améliorer notre visibilité lors de réunions et créer des liens qui pourraient aboutir à des relations commerciales.