Aux Portes de l’Eden : du multi-culturisme relaxant...

Les cœurs ont pris possession un peu partout dans les différentes salles de soins, un peu logique la Saint-Valentin du 14 février est une date porteuse pour le centre de bien-être et de relaxation Aux Portes de l’Eden. «Bon nombre de couples viennent s’offrir une séance de massage ou de soins en duo», assure Sarah Mougenot. Depuis une dizaine d’années, elle opère au sein de ce centre de bien-être situé rue du Chanois à Seichamps aux côtés de sa mère, Fatima Mougenot. En 2008, Fatima Mougenot a décidé d’ouvrir son propre établissement souhaitant «proposer une mixité entre les techniques orientales et occidentales.» Un multi-culturisme au service de l’esthétisme et du bien-être où le partage et l’écoute s’additionnent aux soins. «Nos clients bénéficient d’un accueil personnalisé et d’une prise en charge individuelle pendant toute la durée des soins. Chaque client est unique et doit ressentir cette notion d’exclusivité», assure la fondatrice.

Relaxation facilitée

Le panel classique de l’offre d’un institut de beauté est proposé (manucure, soins du visage, du corps, massages esthétiques avec des produits 100 % naturels et bio, hammam), des prestations pour lutter contre les rondeurs gênantes à la pointe des avancées technologiques maîtrisées sont venues progressivement s’ajouter aux prestations proposées. Maître mot affiché : bien-être aussi bien du corps que de l’esprit. «Nous mettons tout en œuvre pour faciliter la relaxation de nos clients et répondre à leurs besoins pour aboutir à un véritable lâcher-prise», assure le duo mère-fille d’une seule voix. Un lâcher-prise de plus en plus recherché notamment depuis les différentes périodes de confinement liées à la pandémie. «La crise sanitaire, les confinements ont fait prendre conscience à bon nombre de personnes de la nécessité de prendre du temps pour soi», constate Sarah Mougenot. Les cabines de massage solo ou duo, l’espace détente mis à disposition après les soins et l’ambiance apaisante et relaxante palpable dès l’accueil, se veulent loin des grands centres low cost ayant fleuris depuis plusieurs années. «Notre approche est familiale ! La transparence dans la pratique et dans les conseils de soins divulgués sont nos fils rouges. Notre ADN, c’est le partage et l’amour de l’autre», assurent les deux femmes. À une clientèle d’habitués construite au fil du temps, «et sur le bouche-à-oreille», de nouvelles typologies poussent la porte pour y trouver ce bien-être tant recherché et notamment de plus en plus d’hommes. «60 % de notre clientèle demeure féminine et le reste est composé d’hommes, principalement issus des jeunes générations entre 20 et 30 ans. Les choses évoluent et ces messieurs sont de plus en plus nombreux à souhaiter prendre soin d’eux», constate Sarah Mougenot. Une évolution sociétale à laquelle le duo mère-fille est à l’écoute. L’écoute, encore et toujours...