Adviso Partners se renforce à Lille
Accompagnant les dirigeants dans le cadre du développement ou de la cession de leur entreprise, la banque d’affaires Adviso Partners étoffe son bureau lillois avec le recrutement d’un ancien directeur d’investissement régional de Bpifrance.
Adviso Partners pousse ses pions dans les Hauts-de-France. Implantée dans plusieurs villes de France, cette banque d’affaires indépendante vient d’étoffer son bureau lillois avec l’arrivée comme directeur associé de Jean-Yves Duriez, ancien directeur d’investissement senior Nord - Pas-de-Calais/Picardie chez Bpifrance. «Ce recrutement nous permet de renforcer non seulement notre ancrage territorial, mais aussi notre expertise, Jean-Yves Duriez ayant accompagné tout au long de sa carrière les entreprises de la région sur la partie haut de bilan», se réjouit Guillaume Capelle, associé en charge du développement d’Adviso Partners dans le Nord et l’Île-de-France.
Des entreprises valorisées entre 20 et 150 millions d’euros
Créé en 2015 et présent à Lille depuis six ans, l’établissement accompagne les dirigeants dans le cadre d’opérations primaires, principalement des cessions et des ouvertures de capital. «Nous intervenons dans l’ensemble des secteurs d’activité, pour le compte de sociétés valorisées entre 20 et 150 millions d’euros», précise Guillaume Capelle. Durant le premier semestre 2022, la banque d’affaires a, par exemple, conseillé le groupe de BTP lillois Rabot Dutilleul dans le cadre de son financement obligataire inaugural de 6 millions d’euros levé notamment auprès du fonds de place rev3 Capital, ainsi qu’Aquilab, éditeur de logiciels d’assurance qualité et d’évaluation en cancérologie, radiothérapie et imagerie médicale basé à Loos, à l’occasion de son rachat par le groupe Coexya. Prudent face à la dégradation de l’environnement macroéconomique, Adviso Partners se veut toutefois confiante pour la seconde partie de l’année. «Nous avons un pipeline de mandats bien rempli dans les domaines de la santé, de la tech, des services aux entreprises ou encore de l’industrie», signale Guillaume Capelle.