Un torréfacteur dans votre entreprise
Les cafés Taine installent dans les entreprises des distributeurs de boissons chaudes et froides, de confiseries, sandwiches et salades. Une vraie pause gourmande, pour mieux repartir au boulot !
Tous les dirigeants le savent : la machine à café est un lieu privilégié dans l’entreprise, où de nombreux problèmes sont désamorcés et où les dossiers avancent. Créée en 1991 par Jean-Pierre Taine avec son fils Samuel alors âgé de 20 ans, qui en a pris la direction générale en 2008, la société des cafés Taine est devenue premier torréfacteur de Picardie : elle vend chaque année à une clientèle de restaurateurs, hôteliers, cafetiers et grossistes près de 350 tonnes de cafés, achetés aux importateurs du Havre, de Bordeaux ou d’Anvers, puis torréfiés à Arsy près de Compiègne. Au total, une quarantaine de produits d’origines différentes, Brésil et Colombie bien sûr mais aussi Népal ou Yémen, ainsi que des mélanges spéciaux élaborés par le torréfacteur. En s’associant en juillet 2018 avec Jean-Marc Barkat pour racheter une entreprise de Soissons, Samuel Taine a créé Torredis, qui installe, approvisionne et entretient des distributeurs de chaud et de froid dans les locaux d’entreprises ou de collectivités.
Aucun coût pour l’entreprise
Les deux hommes ont sélectionné les distributeurs automatiques correspondant le mieux à leurs besoins, de la marque italienne Bianchi Vending, une dizaine de modèles pour les machines à café, cinq modèles de distributeurs de snacking et frais. Outre les traditionnels expresso courts et longs, les machines à café préparent des boissons gourmandes, capuccino, chocolat, thé ou encore potage. Et côté snacking, on trouve des boissons fraîches en bouteilles ou canettes, de la confiserie et biscuiterie, mais aussi des sandwiches et des salades sous vide. Environ 180 machines sont déjà en service dans 80 entreprises de l’Oise et de l’Aisne, allant de la PME de 40 salariés jusqu’à des grands groupes comme Saint-Gobain, des grandes surfaces, des hôpitaux, des lycées,… « Et ça ne coûte rien à l’entreprise », affirme Samuel Taine, puisque les coûts de matériel, d’installation, d’approvisionnement et de maintenance sont couverts par les consommations. Deux approvisionneurs et un technicien sillonnent tous les jours les routes du secteur pour s’assurer du bon fonctionnement des machines. Avec son associé et un agent commercial, le directeur général Samuel Taine prend en charge la prospection commerciale, visant un développement local et s’appuyant sur ses points forts que sont la proximité, la réactivité, l’adaptabilité aux besoins et un fort sens du service. Et ça marche, puisque le chiffre d’affaires a augmenté de 25% dès la première année.