Studio Catherine Herpeux : Spécialiste des portraits photographiques
Situé à Thionville, le studio Catherine Herpeux est spécialisé dans le Portrait avec un grand P. La structure réalise des portraits de femmes enceintes, de bébés, d’enfants, de familles mais aussi des portraits individuels ou à plusieurs, des photos scolaires ainsi que des shooting pour immortaliser les moments de vie les plus importants.
Titulaire d’un diplôme de photographe-portraitiste professionnel délivré par l’École de recherche graphique (ERG), Catherine Herpeux a repris la structure fondée par son père en 1983. La dirigeante qui a suivi une formation de photographe en Belgique durant quatre ans, a exercé ce métier en freelance pendant cinq ans à Bruxelles avant de revenir en France en 2000 et de reprendre le studio photo familial. «La reprise me semblait naturelle une fois mon père à la retraite» déclare l’artiste qui rend les clichés de ses clients uniques et inoubliables.
Un service irréprochable
Motivée par le contact client, Catherine Herpeux met son savoir-faire à la disposition de ses clients pour toutes leurs demandes de photos personnalisées et haut de gamme, et ce depuis 20 ans déjà. «J’adore mon métier qui me permet de rencontrer à chaque prise de vue de nouvelles personnes et de comprendre le fonctionnement de la famille pour que les photos révèlent au mieux les émotions ressenties», précise Catherine avant d’ajouter : «pour réaliser les portraits d’enfants, par exemple, il faut que ces derniers prennent confiance en eux. Pour ce faire, je joue avec eux afin de les voir s’exprimer sans crainte.» Précisons que l’artisane qui est membre de la Fédération française de la photographie et des métiers de l’image (FFPMI) suit des cours de coaching animés par Bernard Audry, un des plus grands photographes au niveau international. «C’est une grande émulation de faire partie de ce groupe, je voudrais encore progresser en technique, remanier également la gestion du studio et j’ai beaucoup d’autres projets à mettre en place dans l’avenir», conclut-elle.
Fatima Ezzahra DARDAOUI