Le Beverly : un mois de fermeture pour une métamorphose réussie
Après un mois de parenthèse forcée, Le Beverly a finalement rallumé ses projecteurs fin juillet. Cette clôture, dictée par les directives du préfet de la Côte-d'Or, a offert à l'établissement l'occasion d'une remise en beauté, tout en permettant à son personnel de s'armer face à des situations potentiellement tendues.
Les noctambules de Dijon viennent de retrouver les lumières vives et les rythmes enivrants du légendaire établissement Le Beverly. Le décret d'arrêté d'un mois, émis par le préfet de la Côte-d'Or, Franck Robine, au nom des démarches administratives, a manifestement bénéficié au gérant, Gilbert Febvay, qui a profité de cette période pour apporter des ajustements au lieu. Plus important encore, il a saisi l'opportunité de former son personnel à la gestion de situations délicates telles que la présence de clients sous l'emprise de l'alcool ou l'émergence de comportements agressifs, entre autres.
Quel impact financier pour Le Beverly ?
Cette interruption inattendue n'a pas été sans conséquences financières pour l'établissement. En clair, le mois de fermeture a durement impacté les finances de l'établissement, représentant une importante perte financière. Gilbert Febvray, confronté à ce défi, a pris la décision de maintenir Le Beverly ouvert durant le mois d'août, bien que traditionnellement considéré comme une période tranquille, dans l'espoir de compenser ce manque à gagner.