Ouverture des candidatures pour le "Technology Fast 50" 2015 !
Comme chaque année depuis maintenant 15 ans, le " Technology Fast 50 " met en lumière les pépites technologiques françaises en phase de croissance soutenue et durable. Les candidatures au concours sont désormais lancées, et ce, jusqu'au 2 octobre prochain.
Dans la métropole lilloise, de nombreuses entreprises technologiques sont implantées sur le parc d’activités d’EuraTechnologies, pôle d’excellence économique dédié aux nouvelles technologies.
Alors que l’économie numérique est en pleine expansion, le “Technology Fast 50” est l’occasion pour les entreprises lauréates de franchir un cap. Renforcer la crédibilité des entreprises lauréates auprès des investisseurs et concourir à une plus grande visibilité à l’international : tels sont les objectifs de ce concours. Sur le thème “Powerful connections”, cette 15e édition offrira sept prix régionaux (Nord, Ouest, Ile-de-France, Est, Grand Rhône-Alpes, Sud-Ouest et Méditerranée). Les entreprises lauréates doivent cependant remplir de nombreux critères parmi lesquels : être une entreprise française indépendante, avoir été créée avant le 1er janvier 2011 et figurer parmi ces cinq secteurs d’activités (biotech et sciences de la vie, énergie et greentech, électronique et hardware, Internet-média-télécoms ainsi que logiciels et services informatiques).
Le numérique recrute. 79% des entreprises ayant participé au “Technology Fast 50” prévoient de recruter dans les six prochains mois, dont 25% d’entre elles, plus de dix salariés. De plus, “les participants au ‘Technology Fast 50’ ont créé 35 000 emplois sur les cinq dernières années“, déclarait Arianne Bucaille, associée responsable du secteur “technologies-médias” et responsable nationale du ‘Fast 50’. Des chiffres qui en disent long sur l’état de santé des entreprises technologiques françaises. Un secteur en croissance qui s’explique notamment par l’accroissement de la demande, l’amélioration du carnet de commandes, mais également l’informatisation, l’investissement et l’internationalisation qui concourent à l’expansion de l’économie du numérique. Autant dire que “l’économie de demain” n’a jamais aussi bien porté son nom.
Marie BOULLENGER