Le renouveau du BNI Côte picarde Ambition
Mis en sommeil quelques mois, le BNI Côte picarde Ambition s’est reconstitué au printemps pour devenir un des premiers de la Somme en termes de résultats. Il compte 21 membres et de nouveaux adhérents sont rapidement espérés.
C’est au restaurant Le Comptoir du Malt à Abbeville que les 21 membres du BNI Côte picarde Ambition se réunissent chaque jeudi de 12 heures à 14 heures. Une quarantaine de minutes sont consacrées à des échanges informels avant que l’un d’eux ne présente en détail son activité et offre un cadeau à un des membres qui a enregistré les plus beaux résultats durant la semaine écoulée.
Des réunions le midi
« Sur l’heure du matin, c’est bloquant pour les membres qui sont parents ou pour les chefs d’entreprises qui doivent démarrer leurs chantiers ou leurs salariés, explique Charles Lorson, fondateur d’Amilyb (agenceur et cuisiniste) à Friville-Escarbotin et président durant six mois du BNI Côte picarde Ambition. Les rencontres chaque jeudi midi sont un succès. Abbeville est central. Les personnes extérieures, sans limite de profil, peuvent y participer et présenter leurs activités. Nous prévoyons de faire une réunion par mois chez un de nos membres ou de mettre en place des afterworks.»
Déjà, en juin, Le BNI Côte picarde Ambition était le premier BNI en termes de résultats sur cinq dans le département de la Somme et deuxième en juillet : « J’étais chargé du comité d’accueil des membres, précise Charles Lorson. Avec Marie-Aimée Hurtel, à qui je succède, nous avons fait un gros travail. Nous avons su fédérer une super équipe, dynamique et entreprenante. »
Compléter les synergies
Toutefois, le BNI Côte picarde Ambition entend ne pas être concurrent du BNI Abbeville baie de Somme : « Nous n’attirons pas les mêmes sphères, précise Charles Lorson. Ainsi, nos membres sont dans le bâtiment, dans les services, comme le bien-être au travail ou avocat. Il y a un expert comptable, un assureur, un courtier, un architecte paysagiste, deux agents immobiliers, un tourné vers le professionnel et un autre vers les particuliers… Une seule activité est représentée par BNI. Nous aurions besoin d’un vidéaste ou chargé du marketing digital, d’une société de nettoyage, d’un restaurateur ou un traiteur. Nous voudrions arriver à 28 membres dans les six mois pour compléter les synergies. »
Le but de ce BNI, comme tous les autres, est que les membres développent leur réseau, créent des partenariats entre eux, partagent leurs carnets d’adresses et génèrent des affaires qu’ils n’auraient pas pu obtenir par un autre biais. Le droit d’entrée est de 1 545 euros, plus 500 euros de frais de dossier : « Il n’y a pas de rivalité entre les membres, ce n’est que de la complémentarité et de la convivialité, assure Juliette Charley, directrice consultante. Ils sont dynamiques, dans la collaboration, le management, l’innovation… Ils adorent la méthode BNI et ses indicateurs de performance. »