La Fnaim 54-55-88 bien dans ses murs...
La Fnaim (Fédération nationale des agents immobiliers) de Meurthe-et-Moselle, Meuse et Vosges vient de tenir son assemblée générale annuelle, le 17 juin. Bilan des courses : la pierre se porte bien voire même très bien dans les trois départements.
«Nous sommes sur un marché porteur, en croissance et équilibré.» En ces quelques mots, Olivier Dieudonné, le président de la chambre Fnaim (Fédération nationale des agents immobiliers) de Meurthe-et-Moselle, Meuse et Vosges résume la bonne santé du secteur à l’occasion de l’assemblée générale de la chambre le 17 juin dernier (en visio). D’après les chiffres fournis par la chambre : en 2020 sur les trois départements, le volume de transactions s’est établi à 17 968 opérations en progression de 2,2 % par rapport à 2019. À Nancy, par exemple, 2 258 transactions ont été enregistrés (dont 2 029 appartements et 229 maisons). Cette progression dans les transactions est également palpable au niveau des prix.
91 % de satisfaction client
«Les prix ont continué leur progression alors que, parallèlement, l’inflation est restée soutenue à 0,2 %», explique-t-on à la Fnaim 54-55-88. Le prix de vente moyen s’est établi à 1 097 €/m² pour les maisons et à 1 722 €/m² pour les appartements. Au niveau national, le prix moyen au mètre carré s’établit à 2 807 € (3 844 € pour les appartements (+ 5,3 %) et à 2 276 € pour les maisons (+ 2,4 %). Si le marché affiche de bonnes perspectives, les professionnels de la Fnaim soulignent également une satisfaction client importante affichant les 91 % pour l’année 2020 (source : Opinion System). L’assemblée générale de la semaine dernière a été également l’occasion pour la fédération de remettre en avant sa position d’acteurs engagés. «En complément des actions menées par la Fnaim au niveau national, la Chambre Fnaim Meurthe-et-Moselle, Meuse et Vosges occupe un rôle de premier plan en matière de dialogue avec les pouvoirs publics locaux. Nous sommes les interlocuteurs quotidiens des élus territoriaux, œuvrant en particulier à garantir les conditions d’un parc privé locatif fluide et rénové, tout en alertant sur les éventuelles dérives que telle ou telle décision locale peut représenter pour le parc de logements», précise la chambre.