L’offre TGV pour Arras maintenue jusqu’en 2018

Lors de l’annonce, les intervenants de gauche à droite : Gérald Darmanin, vice-président régional aux transports, Frédéric Leturque, maire d’Arras et conseiller régional, Philippe Rapeneau, président de la Communauté urbaine d’Arras et vice-président régional,
Lors de l’annonce, les intervenants de gauche à droite : Gérald Darmanin, vice-président régional aux transports, Frédéric Leturque, maire d’Arras et conseiller régional, Philippe Rapeneau, président de la Communauté urbaine d’Arras et vice-président régional,

 

D.R.

Lors de l’annonce, les intervenants de g. à dr. : Gérald Darmanin, vice-président régional aux transports, Frédéric Leturque, maire d’Arras et conseiller régional, Philippe Rapeneau, président de la Communauté urbaine d’Arras et vice-président régional.

 

Enfin une décision… Après de nombreux mois de mobilisation, les efforts collectifs en faveur du maintien du niveau de desserte TGV en gare d’Arras ont payé. Jusqu’en 2018, l’offre TGV Paris-Arras et ensuite au-delà, vers Dunkerque et Valenciennes, sera maintenue. Ainsi, à compter de décembre 2016 et jusqu’en 2018, date de l’ouverture à la concurrence, les horaires TGV aux heures de pointe seront les suivants. Le matin au départ d’Arras pour Paris : 6h17 – 6h56 – 07h17 – 07h59 ; le soir au départ de Paris pour Arras : 16h52 – 17h52 – 18h37 – 19h22 – 19h52. Le matin, les trains de 7h56 et 8h17 sont assemblés en un même train, à 7h59. Le soir, le 18h22 a été décalé à 18h37 et le 18h52, à 19h22.

Dans la finalisation de ce compromis, le rôle prépondérant et l’engagement de Gérald Darmanin et de Xavier Bertrand, président de la région Hauts-de-France, ont été soulignés. La mobilisation au cours des derniers mois des parlementaires, élus régionaux, départementaux et locaux, ainsi que des associations d’usagers et des citoyens du territoire a visiblement porté ses fruits. Comme l’a conclu Philippe Rapeneau, “c’est une victoire collégiale. Le territoire mérite mieux que des annonces de suppressions de dessertes incessantes. Le combat continue pour défendre un aménagement du territoire cohérent et les intérêts du Grand-Arras“.