HUITIÈME ÉDITION DES 24H POUR L’EMPLOI ET LA FORMATION
Le salon des 24h pour l’emploi et la formation faisait escale à Amiens le 21 novembre. Pour cette huitième édition, 500 postes étaient à pourvoir. L’occasion pour les demandeurs d’emploi et les étudiants de rencontrer les recruteurs en direct.
Comme chaque année, c’est au cinéma amiénois le Gaumont que le salon des 24h pour l’emploi et la formation, organisé par la société L4M, a eu lieu. Ce 21 novembre, il y avait foule dès l’ouverture des portes à 9h30. Demandeurs d’emploi, salariés en veille, étudiants à la recherche d’un stage… tous s’étaient massés devant l’entrée pour être dans les premiers à rencontrer les recruteurs. Tous les secteurs d’activités étaient représentés : de la grande distribution au commerce, en passant par l’industrie et la banque-assurance. En tout, une trentaine de structures étaient présentes. Parmi elles entre autres, la CPAM de la Somme, le Fongecif, Carglass, Résidences Picardes, le Crédit Agricole, Coriolis, Auchan, Groupama ou encore la Police nationale.
RENFORCER L’ANCRAGE RÉGIONAL
« Nous souhaitons aller à la rencontre de nos futurs talents. Participer à ce salon est l’opportunité pour nous de renforcer notre ancrage régional », a expliqué Jérémy Galéa, chargé d’études au Crédit du Nord, entreprise également présente au Gaumont pour proposer des postes de conseillers (clientèle de particuliers ou professionnels) et en lien avec le management (direction d’agences). Le centre de formation Proméo, qui a des antennes dans les trois départements picards, était venu présenter son offre qui comprend des formations diplômantes / certifiantes du niveau 5 jusqu’à l’école d’ingénieur, en passant par le BTS, les licences et Masters. « Nous nous adressons à tous types de publics, de 16 ans et beaucoup plus », précise Stéphanie Chartier-Fourrier, chargée de développement dans l’entreprise. À travers ce salon, Proméo souhaite par ailleurs « promouvoir les métiers de l’industrie qui sont aujourd’hui méconnus, comme l’usinage, le tournage, le fraisage ou la chaudronnerie ». Un message qui aura forcément trouvé un écho parmi les 2 000 visiteurs qui étaient attendus dans la journée.