Harry Hope lance Jane Hope

«Sur le marché du travail, une constatation assez simple a été faite par les employeurs : une grande partie des employés aspirent à une augmentation de la rémunération, à une flexibilité de leurs emplois du temps et également à un choix des missions plus précis», constatent Nicolas Puzin, William Muringer, Mathieu Mailliot, Kevin Pilot, les fondateurs d’Harry Hope et Vincent Gascougnolle, le directeur général de Jane Hope. 

Conséquence directe, le nombre de freelances a explosé dans l’Hexagone (+ 71 % entre 2009 et 2019) notamment dans les secteurs de la finance, du design, de la création numérique, de l’IT et de l’ingénierie. «Notre mission est d’apporter aux entreprises à la recherche d’un prestataire, la capacité de gérer un processus complet concernant les profils freelances allant de la recherche, de la qualification à la contractualisation et la facturation», expliquent les fondateurs. 

L’autre mission de Jane Hope est d’accompagner les travailleurs indépendants ou les personnes en CDI souhaitant changer de statut. «Ils pourront avoir accès à un panel de missions diversifiées et adaptées à leurs compétences, tout en bénéficiant d’un réseau de partenaires, leur permettant de faire face aux aléas liés au statut de freelance.» Du gagnant-gagnant, en somme !