"God save the kids.com" : un marketplace dédié à l’univers de l'enfant

Naïvement, on penserait trouver une maman à la tête d’un site web à destination des enfants. Et pourtant, bien loin des idées reçues, "God save the kids.com" a été imaginé par un papa de cinq enfants, ancien de Kiabi et qui a eu l’idée de créer un marketplace entièrement dédié à cet univers.

Ludovic Leurent a lancé God save the Kids.com en septembre 2013.
Ludovic Leurent a lancé God save the Kids.com en septembre 2013.
D.R.

Ludovic Leurent a lancé "God save the kids.com" en septembre 2013.

C’est un malencontreux accident qui est à l’origine de la création de “God save the kids”. Une balade en vélo, le pied de sa fille qui se coince, une chute et deux bras cassés : Ludovic Leurent est contraint de rester alité pendant un mois… L’occasion de faire le tour du web et plus spécialement des sites dédiés aux enfants pour s’apercevoir qu’il restait encore de la place pour un nouvel acteur. Le monde du web, Ludovic Leurent le connaît bien : il a passé 12 ans chez Kiabi, et notamment à la création et au lancement du site www.kiabi.com en 2000. «La clé pour réussir, c’est de proposer un choix beaucoup plus large qu’en magasin ! Nous voulons faciliter la vie des mamans sur tous les domaines de l’enfance : la décoration, la puériculture ou encore les vêtements. En fait, accompagner la croissance d’un enfant», explique-t-il. “God save the kids.com” voit le jour en septembre 2013, avec 20 000 références à son actif et un objectif de… 100 000 ! Sur un marché éclaté où les sites ne manquent pas, le site veut tirer son épingle du jeu en proposant un large choix de produits, en passant par les grandes marques, les pure players et les créateurs. Déjà 50 vendeurs partenaires ont rejoint l’aventure, soit plus de 600 marques. Gros plus : la livraison en point relais est gratuite dès 20€ d’achats. «Nous croyons beaucoup à l’aspect communautaire. Les mamans n’hésitent pas à dire quand elles trouvent un bon produit. Notre ‘conseil des mamans’ se réunit toutes les six semaines et nous donne son avis sur l’ergonomie du site ou sur la communication», poursuit Ludovic Leurent, aujourd’hui à la tête d’une dizaine de salariés. 

 D’autres projets sont à venir : l’incontournable liste de naissance, une rubrique «Occa’z » et la version anglaise du site.