Deux étudiants placent lacommunication au centre du dispositif

Faire savoir son savoirfaire reste l’un des enjeux des filières scientifiques. La logistique n’y échappe pas, plus d’étudiants pourraient épouser ses carrières. L’université de Lille 1 a confié à deux d’entre eux le soin de propager la bonne parole. Retour sur expérience.

Matthieu et Yann ont pris en mains la communication sur leur master.
Matthieu et Yann ont pris en mains la communication sur leur master.

 

Matthieu et Yann ont pris en mains la communication sur leur master.

Matthieu et Yann ont pris en mains la communication sur leur master.

Créé en 1992, le master 2 MLITUST Lille (logistique et ingénierie des transports) ne cesse de progresser en compétences au point d’être cité à plusieurs reprises dans le très sérieux Logistiques Magazine. Il se justifie par la position géographique dominante de notre région, au deuxième rang national pour les exportations, deuxième pôle agroalimentaire français, troisième région industrielle française, à moins de 2 heures de plusieurs grandes capitales européennes. Bref, il s’agit-là de la meilleure offre de services de logistique de France.
Cette filière d’un an réunit en moyenne 25 étudiants. En 2010, elle se donnait un objectif clair collant aux besoins des professions : former 50% de profils scientifiques et autant de gestionnaires. En 2011 deux étudiants, Matthieu Torney et Yann Pietrzak, ont pris en charge le projet communication du master destiné à mieux le faire connaître et donc attirer plus d’étudiants dans l’univers de la logistique.

Théorie, pratique… et communication. Matthieu et Yann ont entre 22 et 24 ans, ils ont suivi des stages assez différents passant d’Auchan à Boulanger Hénin-Beaumont et Afval Solesmes au service transports-logistique. Ce qui les a le plus intéressés, c’est la variété des activités à découvrir, le fonctionnement d’un magasin Auchan, la gestion des commandes : bref, les aspects très concrets après une formation théorique complète mais… théorique. “Ce qui est indispensable, expliquent-ils, c’est la reconnaissance par un diplôme universitaire et bien coté. Le réseau d’anciens du MLIT s’est révélé souvent très utile en pré-accompagnement. Sur 23 étudiants de la promo, 21 sont diplômés et sur 400 anciens de la filière, plus de 50% sont restés dans