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Communauté de communes des Villes Sœurs : des aides diverses pour se développer
Alors que l’activité économique repart avec la régression de la pandémie, la communauté de communes des Villes Sœurs installée à Eu (Seine Maritime) rappelle qu’elle apporte des aides financières aux entreprises de la Somme. Ces interventions se font sous conditions, sur la forme d’une subvention, après instruction du dossier.
Les investissements retenus concernent les biens productifs neufs nécessaires à l’activité économique de l’entreprise. Pour la création/reprise d’entreprises, le montant minimum d’investissement doit être de 5 000 € HT. La subvention est de 10% du montant de l’investissement éligible, plafonnée à 15 000 €. Pour le développement des PME, le montant minimum d’investissement est de 5 000 € HT. L’aide est de 10 % du montant de l’investissement éligible, plafonnée à 15 000 €. Pour le développement des TPE, le montant minimum d’investissement est fixé à 5 000 € HT. La subvention est de 20% du montant de l’investissement éligible, plafonnée à 6 000 €. Vient s’ajouter un bonus lié à la création d’emplois de 1 000 € par emploi CDI créé (à temps plein), plafonné à 10 emplois dans les deux ans suivant l’acceptation du dossier. Pour l’investissement immobilier d’entreprises (construction immobilière, extension, achat d’immeubles existants), la société doit vouloir développer son activité. Le montant minimum d’investissement est de 80 000 € HT. La subvention est de 3% du montant de l’investissement, plafonnée à 30 000 €.
Concernant les travaux d’aménagement et de rénovation, le montant minimum d’investissement est de 80 000 € HT. La subvention est de 2 % du montant de l’investissement éligible, plafonnée à 30 000 €. À ces aides, vient s’ajouter un bonus lié à la création d’emplois, d’un montant de 1000 € par emploi CDI créé (à temps plein), plafonné à 10 emplois dans les deux ans suivant l’acceptation du dossier. Une boucherie à Mers-les-Bains, le restaurateur-traiteur La Parenthèse et l’entreprise de peinture Poidevin-Pollet sur le parc d’activités Bresle Maritime à Oust Marest, Florixir à Gamaches, PSP et APB à Beauchamps en ont déjà bénéficié : « C’est important d’aider les entreprises, c’est un vecteur d’attractivité. Ca donne un effet levier quand les dirigeants sollicitent les banques. Cela montre le sérieux du dossier », commente Jean-Pierre Troley, vice-président chargé du développement économique.