“Coeur d’agglo 2020” pour redynamiser le bassin creillois

La Communauté d’agglomération creilloise (CAC) va profiter de sa présence au salon SIMI consacré à l’immobilier d’entreprise – du 4 au 6 décembre au Palais des congrès de Paris - pour dévoiler officiellement son projet “Gare coeur d’agglo 2020 – un nouveau coeur pour une nouvelle vie”, ou comment réinventer et investir 270 hectares...

Pour la CAC, ce projet est « l’un des accélérateurs du développement durable pour l’ensemble de la Picardie ».
Pour la CAC, ce projet est « l’un des accélérateurs du développement durable pour l’ensemble de la Picardie ».

 

Pour la CAC, ce projet est « l’un des accélérateurs du développement durable pour l’ensemble de la Picardie ».

Pour la CAC, ce projet est « l’un des accélérateurs du développement durable pour l’ensemble de la Picardie ».

Ce projet constitue un des piliers du projet de territoire de la CAC (présidée par Jean-Claude Villemain), établi en 2009, avec comme point d’ancrage l’arrivée en 2020 de la liaison Roissy-Picardie, qui a pour ambition de renouveler le complexe ferroviaire creillois et le pôle multimodal associé à la gare. Sont donc concernés le site de la gare et un quartier de 270 hectares qui s’étend sur les communes de Creil et Nogent-sur-Oise. Comme on l’explique à la CAC : « Le projet constitue une réponse à des enjeux de déplacement à l’échelle du bassin de vie et contribue à la redynamisation économique du bassin creillois. » L’idée étant également de renforcer l’attractivité de l’agglomération, en profitant de sa proximité avec la capitale, et en l’exploitant pour en faire « la porte de la Picardie ouverte sur l’Ile-de- France ». L’objectif de la CAC étant de devenir « le premier pôle économique régional »… Comme l’explique Jean- Claude Villemain, « ce projet de grande ampleur générera d’importantes disponibilités foncières qui permettront de créer une offre aussi importante que diversifiée, et ce, aussi bien pour du logement que de l’activité ».
Pour réaliser le plan guide de son projet, la communauté d’agglomération a souhaité un montage inédit, associant cinq maîtres d’ouvrage dans le cadre d’un groupement de commandes, avec des objectifs complémentaires : l’agglo et de deux de ses villes en ce qui concerne le volet urbain, Réseau Ferré de France (RFF) sur la question du ferroviaire et la région, à l’interface des deux précédents volets. C’est finalement l’agence parisienne Nicolas Michelin & associés, adepte des projets urbains utilisant les énergies naturelles, qui a décroché le contrat au bout d’une année et une trentaine de réunions préparatoires.