84 %

Sa mission est de permettre de faciliter et d’amplifier les actions RSE (Responsabilité sociétale des entreprises) des entreprises tout en plaçant leurs employés au cœur de cette démarche. «Notre plateforme d’engagement permet aux salariés de soutenir les causes qui les font vibrer et de suivre leur impact qui est mesuré en temps», assure NooS.Global. Depuis la dernière parution du rapport du GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) où, de nouveau, la sonnette d’alarme a été tiré au sujet de la survie de la planète (donc par conséquence de la nôtre), 62 % des Français pensent qu’il est encore temps d’agir pour la sauver. Seulement 34 % sont totalement pessimistes sur le sujet. Si la prise de conscience apparaît bien présente, il n’en demeure pas moins qu’au niveau des actes et de la réelle implication, du chemin reste à parcourir. 51 % avouent ne s’être jamais investis dans des projets à impact. Chiffre inquiétant mis en avant par cette enquête celui concernant l’implication des entreprises. Selon l’enquête de NooS.Global, seulement 3 % des entreprises ont déjà contribué à une action concrète. «En ce qui concerne l’investissement des entreprises dans des projets à impact, tout reste à faire», assurent les auteurs de l’enquête. 85 % des entreprises n’ont encore jamais contribué à agir pour la planète, à en croire les chiffres divulgués. «Agir pour la planète est une nécessité, mais beaucoup de Français ne savent pas par quoi commencer. Parmi tous les projets capables de générer un impact positif, certains ont plus la côte que d’autres», assurent les auteurs de l’enquête. 78 % sont des projets «Zéro déchet» qui sont les plus importants, juste devant ceux liés à la biodiversité pour 71 %. En troisième position, 68 % des Français citent des actions de reforestation presque à égalité avec les projets qui contribuent à atténuer les changements climatiques (67 %). En revanche, les Français sont moins nombreux (59 %) à être sensibles aux projets d’éducation, aux actions sanitaires pour permettre aux personnes vulnérables d’accéder plus facilement aux soins (57 %) ou aux actions liées à l’inclusion (44 %).