En mode résilience et adaptation en plein cœur de la crise sanitaire en début d’année, la galaxie des clubs et réseaux régionale tente de renouer avec le monde d’avant. Retour des afterworks, des petits-déjeuners et autres événementiels à un rythme soutenu, voire quasi frénétique. Les structures bien établies doivent aujourd’hui faire face à ce que certains qualifient de «réseaux sauvages». Ces communautés de genre et d’aspiration professionnelle sont apparues post-confinement et perdurent aujourd’hui, renforçant encore plus la complexité de lisibilité de cet univers. À l’heure où la notion d’inter-réseaux pourrait s’afficher comme l’évolution salutaire de cet écosystème, chacun apparaît défendre sa marque tout en tentant de reconquérir sa légitimité.