Un projet fictif de création d’entreprise

Les candidats présentaient leur projet devant des professionnels du secteur.
Les candidats présentaient leur projet devant des professionnels du secteur.

Une trentaine d’élèves de l’Ecole européenne d’esthétisme d’Arras ont présenté dernièrement leurs projets fictifs de création d’entreprise en présence d’un jury composé de professionnels du secteur de l’esthétisme, de professeurs de l’école mais aussi de chefs d’entreprise de l’Artois.
Un projet multipartenaire. Ali Tikouirt et Olivier Jacobs, conseillers en création d’entreprise à la BGE Hauts de France, réseau de conseil en création d’entreprise, sont à l’origine de ce partenariat avec la mise en place de l’action «J’apprends l’entreprise» soutenue par la Région, le Fonds social européen et la Caisse des dépôts. Le jury, constitué au sein de l’Ecole européenne d’esthétisme, a permis aux élèves de présenter tour à tour leur projet d’entreprise. L’objectif de cette démarche était de faire le lien entre les cours de l’école et la possibilité d’entreprendre. Le fait de créer fictivement une entreprise a permis aux candidats de présenter leur projet en s’exprimant devant des professionnels du secteur et de mettre en avant leurs compétences professionnelles.

 

D.R.

Les candidats présentaient leur projet devant des professionnels du secteur.

Un processus fictif mais professionnel. La matinée de présentation faisait suite à 15 séances de travail animées par les conseillers BGE. Les étudiants se sont investis dans la création de leur entreprise en intégrant les différentes étapes du choix stratégique telles que l’étude de marché, la communication et le business plan. Certains groupes ont même créé de réelles plaquettes de communication et élaboré des plans de leur installation en 3D afin de rendre le projet fictif le plus réel possible. Forts de cette expérience entrepreneuriale, quelques élèves ont également manifesté leur intention de reprendre leur projet de création dans l’avenir…