Un peu de Peps et beaucoup de bonheur

L ’association PEPS n’a pas hésité en ces temps de morosité ambiante à donner une petite leçon de bonheur à ses adhérents. Pour sa troisième soirée Prestige organisée en partenariat avec la CCI 54, l’association présidée par Marie-Odile Gérardin a invité le philosophe Vincent Cespedes pour prêcher la bonne parole.

La 3ème soirée Prestige de l’association PEPS s’est déroulée à la Chartreuse de Bosserville.
La 3ème soirée Prestige de l’association PEPS s’est déroulée à la Chartreuse de Bosserville.
La 3ème soirée Prestige de l’association PEPS s’est déroulée à la Chartreuse de Bosserville.

La 3ème soirée Prestige de l’association PEPS s’est déroulée à la Chartreuse de Bosserville.

C’est dans un décor atypique au cTmur de la Chartreuse de Bosserville, que Vincent Cespedes a rompu le silence… pour laisser place à quelques moments de bonheur. C’est en tous les cas, ce qu’il a tenté d’expliquer aux invités de l’association Peps lors de sa 3ème soirée Prestige. Avant de rentrer dans le vif du sujet, petit focus sur l’association qui fait la promotion des entreprises implantées sur le territoire des Pays du Sel et du Vermois. «Nous avons mis en place un étroit partenariat avec la CCI 54. Nous renforçons nos actions en réunissant les compétences et en organisant, entre autres, des visites et des petits déjeuners d’entreprises» souligne la présidente. Elle a très vite laissé la parole à l’invité du jour Vincent Cespedes, qui comme de nombreux autres philosophes s’est attaqué à un monument du genre : la recherche du bonheur ! «Nous sommes tous dans la doctrine du bonheur publicitaire». Finalement c’est quoi le bonheur ! Selon lui c’est «être authentique et savoir atteindre le Je(u) qui est en nous et ce, quelles que soient les circonstances». Les entreprises ont d’ailleurs bien compris ce principe pour obtenir le meilleur de chacun en mettant de plus en plus en avant le je(u) plutôt que le moi ! «Dès notre plus jeune âge, on nous apprend à être «moi» et oublier d’être «je(u)» pour mieux rentrer dans le moule, être dans le «paraître » et pour mieux «avoir». Alors qu’il faudrait «simplement» se laisser aller à une communication émotionnelle, vraie, authentique». Et attention le je(u) est contagieux.