«Sur le site de Marcq-en-Baroeul nous recherchons 
20 à 25 personnes»

La Gazette : Cela fait 8 ans que l’Olivier Assurance est implanté à Marcq-en-Baroeul. Comment se porte le site ? 

Aude Cousin. L’Olivier Assurance est très bien implanté dans la région. Aujourd’hui, 350 personnes travaillent sur le site de Marcq-en-Baroeul. 300 personnes ont des postes de conseillers clients et les 50 autres sont des fonctions support. Le Groupe est en plein développement. En une année le chiffre d’affaires du groupe a progressé de 30%. Avant 2020, nous étions aux alentours de 150 à 160 millions d’euros de chiffres d’affaires alors qu’en 2021, nous sommes aux alentours de 200 millions d’euros. Même croissance du côté du nombre de contrats signés, nous sommes passés de 200 000 contrats à 350 000 aujourd’hui et nous espérons passer la barre des 500 000 en 2023. Grâce à ce développement, nous recrutons.

Combien de postes sont à pourvoir sur le site de Marcq-en-Baroeul ?

Sur le site de Marcq-en-Baroeul cette année nous recherchons 20 à 25 personnes. Parmi lesquelles des conseillers clientèles, mais aussi des gestionnaires «sinistres», des référents techniques, des gestionnaires « paye », entre autres. Et l’année prochaine nous recruterons 50 personnes supplémentaires. On ne cherche pas à recruter des experts de l’assurance. Ce que l’on recherche ce sont des personnalités. Des personnes dynamiques, agiles, qui savent s’adapter facilement et se remettre en question. 

Par exemple, les gens qui ont eu une expérience dans l’entrepreneuriat nous intéressent énormément car on sait d’avance que ce sont des personnalités qui ont envie de prendre des initiatives, de prendre des décisions. Dans nos équipes, nous avons un ancien musicien et une ancienne journaliste. De toute façon, pour toutes les personnes qui intègrent l’Olivier Assurance, une formation de trois semaines est dispensée pour leur permettre de comprendre notre façon de travailler et de découvrir nos produits.

Depuis la crise de la Covid-19, y a t-il eu un changement majeur en ce qui concerne votre façon de travailler ?

Si je devais signaler un changement, ce serait au niveau du télétravail. Depuis la crise liée à la Covid-19, nous travaillons 60% du temps en télétravail et 40% sur site. Et cela vaut pour les fonctions opérationnelles et les fonctions support.

Beaucoup de secteurs peinent à recruter. Est-ce le cas aussi dans les assurances ?

Oui c’est le cas. On a dû mal à recruter que l’on soit sur des fonctions opérationnelles ou des fonctions support. De plus, avec la pandémie le besoin de trouver des candidats pour les postes liés à la data a augmenté et le marché est en tension. Peu de candidats, mais de nombreuses opportunités. En ce qui concerne les fonctions liées à la relation client même constat, on peine à recruter. Les gens qui rejoignent notre entreprise, ne vont pas venir pour les métiers de l’assurance car le métier n’a pas forcément bonne presse. Ils viennent pour la culture d’entreprise. Depuis quelques années, nous sommes labellisés «great place to work».