PLDE et SRDE : filières papier-carton et eau

De g. à d. : Pascal Lardeur (AECR), Dominique Rembotte (Conseil régional), Joël Duquénoy (Caso), André Bonnier (SMLA), Xavier Ibled (CCI), Bruno Magnier (Saint-Omer).
De g. à d. : Pascal Lardeur (AECR), Dominique Rembotte (Conseil régional), Joël Duquénoy (Caso), André Bonnier (SMLA), Xavier Ibled (CCI), Bruno Magnier (Saint-Omer).

 

De g. à d. : Pascal Lardeur (AECR), Dominique Rembotte (Conseil régional), Joël Duquénoy (Caso), André Bonnier (SMLA), Xavier Ibled (CCI), Bruno Magnier (Saint-Omer).

De g. à d. : Pascal Lardeur (AECR), Dominique Rembotte (Conseil régional), Joël Duquénoy (Caso), André Bonnier (SMLA), Xavier Ibled (CCI), Bruno Magnier (Saint-Omer).

Régulièrement, les décideurs locaux, politiques et économiques accueillent leurs homologues de l’AECR (Action économique du Conseil régional). Il est vrai que le PLDE (plan local de développement économique) s’inscrit dans le SRDE (schéma régional de développement économique). Les principales préoccupations concernent la filière papiercarton. Cette branche regroupe 7 000 employés dans la région, dont un tiers dans l’Audomarois. Pour lutter contre la concurrence, onze entreprises ont créé une “grappe” (Nord package) qui permet une mutualisation des moyens. Autre danger qui guette les entreprises de la vallée de l’Aa : le recyclage des vieux papiers, gage d’économies substantielles. Or, les étrangers (Chinois, Allemands…) proposent des prix de rachat supérieurs ! Une licence pro “génie de l’emballage et du conditionnement” est à l’étude qui valoriserait cette filière et complèterait le BTS métiers de l’eau créé au lycée Blaise-Pascal selon les propos de Dominique Rembotte, conseillère régionale en charge de l’enseignement.
Autre sujet abordé, le projet Aquapris porté par la CCI Grand- Lille. “Disponibilité, qualité et performance”, tel est le triptyque présenté par Xavier Ibled. Disponibilité par la connaissance de nouvelles ressources en eau, qualité par de nouveaux process qui respectent les nappes, performance par des traitements qualitatifs moins chers qui conviennent aux éco-entreprises.