MAAF Assurances : Adapter le contrat à l’activité réelle de l’entreprise
Dans le cadre de la prochaine Assemblée Générale de la CAPEB 54 qui se déroulera le 12 octobre dans les salons du stade Marcel Picot à Tomblaine, des conseillers Lorraine MAAF Pro, partenaire de longue date de ladite institution, rencontreront les adhérents pour à la fois réaffirmer leur présence auprès de ces derniers mais aussi en leur proposant un bilan assurantiel complet de leur activité afin de la sécuriser.
Dans un contexte où les comportements changent rapidement, les activités se développement et se diversifient, les chefs d’entreprise se doivent de faire évoluer en parallèle leur contrat d’assurance. «Notre principal objectif est d’accompagner notamment les artisans du bâtiment sur les questions d’assurance en leur proposant un service sur mesure, privilégié au regard du partenariat que l’on a tissé depuis longtemps avec la CAPEB.» explique David Rouiller, responsable Lorraine MAAF Pro qui gère une équipe de chargés de clientèle professionnelle répartie dans une vingtaine de points de vente en Lorraine. Il ajoute que «ce service sous-tend un diagnostic global allant de la responsabilité civile professionnelle qui couvre l’ensemble des préjudices ayant eu lieu dans le cadre de l’activité professionnelle et des prestations effectuées par les adhérents, à la protection sociale du chef d’entreprise et de ses salariés. Concrètement, cela se matérialise par la réalisation d’un bilan assurantiel complet et gratuit sur tout le périmètre assurance de l’entreprise.»
Répondre aux besoins en assurance
L’objectif pour MAAF Assurances est d’adapter un contrat qui répond précisément aux besoins en assurance de l’activité globale et réelle de l’entreprise. «Ce bilan permet ainsi de savoir ce que doit être leur couverture par rapport à une situation professionnelle bien spécifique et qui est évolutive dans le temps. Finalement, le but est de tout simplement mettre en lumière si le professionnel est correctement assuré car il peut être soit sur-assuré c’est-à-dire qu’ils payent des cotisations inutiles soit être sous-assuré à ce moment là l’entreprise se met en danger. C’est le cas pour l’entreprise qui diversifie son activité.»