Lorraine Junior-Entreprises lancé

Lancement le 8 février dernier du club Lorraine Junior-Entreprises à l’hôtel de ville de Nancy avec comme parrain, Laurent Hénart, le maire de la ville. Le club a pour ambition de mieux faire connaître ce dispositif auprès des acteurs économiques de la région mais aussi auprès des étudiants qui souhaiteraient se lancer dans l’aventure entrepreneuriale.

Le club Lorraine Junior-Entreprises vient d’être lancé le 8 février à l’hôtel de ville de Nancy.
Le club Lorraine Junior-Entreprises vient d’être lancé le 8 février à l’hôtel de ville de Nancy.
Le club Lorraine Junior-Entreprises vient d’être lancé le 8 février à l’hôtel de ville de Nancy.

Le club Lorraine Junior-Entreprises vient d’être lancé le 8 février à l’hôtel de ville de Nancy.

Nom de code : Lorraine Junior-Entreprises. Mission : fédérer les différentes Junior-Entreprises de la région histoire de créer une véritable synergie ! Le 8 février, ce club est devenu une réalité à l’occasion de son lancement officiel dans les salons de l’hôtel de ville de Nancy. Une conférence menée par Samuel Tamba de Lorraine Junior-Entreprises et étudiant à l’ICN Business School a ouvert la journée. L’événement, animé par des échanges avec Morgan Marietti, délégué de l’Association nationale des apprentis de France (ANAF), Gilles Pécout, recteur de la région académique Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine et chancelier des Universités de Lorraine et Éric Delannoy, Business Angel, avait pour but de faire connaître les jeunes étudiants-entrepreneurs et de susciter des vocations. Pour 2 200 projets d’entreprises par an, les Junior-Entreprises sont au nombre de 171 en France avec un CA estimé à 10 millions d’euros. Elles permettent aux étudiants de mettre en pratique leurs enseignements théoriques puisque fonctionnant comme des petites entreprises.

Entreprendre oui mais avec prudence

Premier critère pour entreprendre : l’envie ! Pour devenir entrepreneur, «il faut commencer par en avoir envie avant d’avoir l’argent», souligne Morgan Marietti. Le financement d’une start-up est risqué et que sans motivation il est presque inconscient de se lancer dans un projet. «La nouvelle génération veut de plus en plus devenir entrepreneur mais pour de mauvaises raisons. Ils veulent se démarquer de la société, créer leur propre start-up pour s’auto gérer» mais il faut garder à l’esprit que les contraintes restent les mêmes pour tous et qu’entreprendre ne permet pas d’y échapper. Avant de s’appuyer sur l’État pour le financement de leur start-up, les jeunes entrepreneurs peuvent opter pour la «love money» (un financement collaboratif, provenant de l’entourage proche : famille, amis, connaissances). Pour faire vivre et connaître ces projets, le club Lorraine Junior-Entreprises organisera bon nombre d’événements à l’image d’un meeting LJE (Lorraine Junior-Entreprises), organisé dès septembre 2016.

stella.procopio