L’Océanis 3 érigé en autofinancement à Maxéville
Le 3e bâtiment du village Océanis de l’Ecoparc sur les hauteurs de Maxéville est aujourd’hui livré par Ecologgia pour une partie. Seul le clos couvert est terminé, l’intérieur sera disponible à la demande et dans un délai rapide. Le tout avec le concept de charges garanties. Des nouvelles pratiques de commercialisation liées à l’évolution d’un marché de l’immobilier d’entreprise de plus en plus délicat.
L’enveloppe extérieure est terminée, l’intérieur est à peaufner selon la demande des potentiels acquéreurs. Océanis 3, le nouvel immeuble de bureaux sur l’Ecoparc du site Saint-Jacques de Maxéville, est en partie achevé. «Nous proposons l’aménagement intérieur dans un délai rapide. C’est une nouvelle façon d’aborder le marché. Impossible de faire autrement surtout quand vous construisez le bâtiment en autofnancement total», confe Nicolas Regrigny, directeur promotion immobilière chez Ecologgia (maître d’ouvrage et promoteur de ce village d’entreprises tertiaires). Des charges garanties «Aujourd’hui pour obtenir le prêt d’une banque, il faut avoir assuré 100 % de la commercialisation. C’est impossible !» À la différence des deux autres grands frères, le n° 3 est naturellement toujours en structure bois (marque de fabrique des constructions d’Ecologgia) mais n’est pas BBC (Bâtiment Basse Consommation), question de coût et d’utilisation. Il répond naturellement à la RT (Réglementation thermique) 2012 et se caractérise surtout par le concept de charges garanties. «C’est-à-dire que nous nous engageons à garantir le montant des charges d’exploitation durant la première période triennale du bail.» L’Océanis 3 affche 2 800 m² divisibles aussi bien à la location qu’à la vente.