L'atelier barisien : Des créations uniques à tendance rétro
Tout est parti du rachat d’un ancien garage auto rue Dom Cellier situé à Bar-le-Duc par Rachel et Dominique Claquin. Ces derniers souhaitant adapter la déco à l’univers industriel du lieu, ils se sont finalement transformés très vite en créateurs de déco et meubles tendance.
«Étant passionnée par la déco et mon mari étant bricoleur et aimant travailler le bois et le métal, nous nous sommes décidés à créer notre propre intérieur en utilisant des matériaux de récupération» explique Rachel Claquin. Ajoutant que : «nous avons également acheté des meubles ou encore une machine à coudre à la ressourcerie. Voisins, amis et membres de la famille enchantés par le rendu, ont également contribué au projet en donnant une porte, une poêle ou encore de vieux objets de toute sorte.» Une fois leur habitation décorée, le couple barisien a décidé de poursuivre l’aventure en créant leur micro-entreprise, «L’atelier barisien». «Nous avons commencé par créer un blog via lequel nous exposons nos créations puis une page Facebook afin de voir si cela plaît au-delà de notre entourage» explique-t-elle.
Donner une seconde vie…
Détournant, transformant, modernisant de vieux objets pour créer une tendance rétro, ces derniers s’amusent ainsi à sublimer une machine à coudre «La Meuse», à concevoir une caisse à fruits en bois recyclé ou encore une table de salon «chêne et fonte» idéale pour une décoration industrielle. «Maintenant, les clients viennent directement chez nous avec leurs vieux objets recyclés afin de les moderniser.» indique-t-elle. Dans le cadre de leur développement, deux partenariats ont déjà été tissés, dont un avec l’Usine qui leur permet d’exposer leurs créations et de gagner ainsi en visibilité. «Puis, d’autres partenariats vont se mettre en place avec notamment l’Institut médico-éducatif de L’EPDAMS 55. L’objectif est de permettre aux jeunes en situation de handicap de nous aider à concevoir quelques-unes de nos créations (…) des ateliers verront le jour d’ici la fin de l’année.» conclut-elle.