L’amour bâche
Autrefois installée boulevard d’Austrasie à Nancy, la société Nancy Bâches a emménagé depuis la mi-juillet dans la ZAC Saint Jacques II de Maxéville. Tour du propriétaire des 633 m² de locaux flambant neufs de Sandrine et Alain Lefebvre du Grosriez, gérants de la société et amoureux de la bâche en tout genre.
«Nous sommes toujours en cours d’installation, c’est un peu le bazar », s’excuse Alain Lefebvre du Grosriez et déplaçant prestement quelques gros cartons qui bouchent le couloir. «Mais l’informatique marche, le téléphone aussi… c’est le principal !» Depuis la mi-juillet, sa société, Nancy Bâches, était à cheval entre son ancienne adresse boulevard d’Austrasie et la nouvelle, au coeur de la ZAC Saint Jacques II. Depuis la mi-août, elle est désormais pleinement installée sur les hauteurs de Maxéville, au n°16 de la rue Albert Einstein. «L’accueil sera bientôt décoré avec des parois chinoises, un produit que nous avons commencé à commercialiser cette année, qui absorbent l’écho à 65 %», annonce-t-il. La façade du bâtiment sera également recouverte d’une bâche textile décorative.
Dans leurs cartons, Alain et sa femme Sandrine, les gérants de Nancy Bâches, n’ont pas oublié de mettre quelques innovations dernier cri : au centre de la pièce d’accueil sera installé un écran présentant les produits de la société, et la salle de réunion se verra dotée de son tableau interactif. «Ça va nous changer les réunions ! Et nous aurons un outil pour faire visualiser à nos clients le résultat de ce qu’ils nous commandent.»
Optimiser l’espace
L’activité de l’entreprise se partage entre bâches (45 %), étanchéité de bassins (40 %), et stores intérieurs et extérieurs (ombrage, tissus ignifugés…). Dans le nouvel atelier, des chariots pleins de rouleaux colorés sont glissés sous la table de découpe et les deux soudeuses à haute fréquence côtoient une mezzanine de rangement ainsi que deux bureaux. Dans la salle des archives, qui partagent leur espace avec les serveurs informatiques, un système de rail optimisera l’espace au maximum. Et pour cause : s’ils avaient 1 000 m² boulevard d’Austrasie, ils en ont à présent 633 m² en tout. Des locaux certes un peu plus étroits mais bien plus optimisés.