Située à Dinozé, l’entreprise Framatec, spécialiste de la construction de charpentes et de structures métalliques, a prévu pour l’exercice 2018, d’une part de réorganiser ses ateliers et d’autre part d’investir un million d’euros dans une nouvelle machine de découpe.
En trente ans d’activité, Framatec a réussi à se constituer de belles références. Aujourd’hui, ce sont 2,5 millions de mètres carrés de bâtiments industriels ou commerciaux qui ont été assemblés à partir des charpentes métalliques sorties tout droit de ses ateliers. Grâce à son expertise et son savoir-faire, de nombreux grands comptes lui font confiance tels que Bouygues Construction, EDF, Eiffage, Vinci ou encore General Electric. «Savoir répondre à leurs attentes avec réactivité, sous-tend une remise en question perpétuelle via l’intégration de nouvelles procédures et l’investissement régulier dans de nouveaux outils industriels. La finalité est d’être à la fois compétitif dans les procédures d’achat, de production ainsi que de transformation» explique Gino Pisani, président directeur général de Framatec.
Un investissement d’un million d’euros
Prévue pour la fin de l’année, l’entreprise va ainsi débourser un million d’euros dans le remplacement d’une machine de sciage, perçage, grugeage et marquage de profilés acier. «Cette machine de découpe sera intégrée dans le nouveau programme de fonctionnement des flux de matières premières» précise Gino Pisani. Disposant d’une réserve foncière de trois hectares située à proximité de son site de Dinozé, l’entreprise compte prochainement l’exploiter afin de démarrer ce nouveau plan de circulation des flux. «La première phase de ce projet qui est encours d’étude porte sur l’aménagement d’un nouveau magasin de stockage de 3 000 m² avec une entrée automatisée» ajoute-t-il. Aujourd’hui, la société qui enregistre un CA de 12,4 millions d’euros dispose déjà d’un carnet de commandes bien rempli avec une année d’avance. «Au regard de notre niveau d’activité, nous comptons pour cet exercice 2018 toujours faire confiance à la jeunesse et procéder à des recrutements ciblés de chargés d’affaires, d’ingénieurs d’études ou encore des assembleurs.»