Fensch Toast : La créativité sans limites !
Société de production audiovisuelle créée en mai 2011 par un trio, Cyril Chagot, Alexandre Philippe et Thomas Koeune, dynamique et créatif. Aujourd’hui, Fensch Toast est connue pour sa fameuse chaîne Youtube Nexus VI qui rencontre un franc succès et ses réalisations audiovisuelles de grande qualité à l’endroit des collectivités et entreprises.
L’aventure commence dès 2007, année de lancement de l’association Point Zéro qui diffusait des courts métrages de fiction. «Je l’ai créée avec mes actuels deux associés, rencontrés au lycée à Thionville. L’un est passionné de belles images, l’autre par le son» souligne Cyril Chagot. Ajoutant que «ce projet associatif nous a finalement donné l’envie de créer Fensch Toast afin d’aller encore plus loin dans la fiction et la création de programmes originaux.» La réalité économique étant parfois plus forte que les envies, a orienté au départ l’équipe Fensch Toast vers la prestation de services. Fort de leur euphorie de départ qui ne les a jamais quittés, nos trois jeunes créatifs sont finalement revenus vers la réalisation de clips vidéo.
La fiction est de retour
En 2014, le moment était ainsi venu pour toute l’équipe de créer sa propre chaîne YouTube, Nexus VI. «Nous cherchions à la fois de la visibilité et à retrouver notre âme originelle. Il s’agit d’une chronique web dédiée à la science-fiction qui aujourd’hui a conquis une communauté de plus de 180 000 abonnés. Par le biais du financement participatif, nous avons également réussi fin 2018 à récolter 100 000 euros pour produire trois épisodes de Nexus VI. On observe ainsi l’émergence d’une forme novatrice de financement des œuvres sur le web.» En parallèle, le trio poursuit ses activités de prestations de services ainsi que le développement de programmes divers. D’ici cet été, l’équipe Fensch Toast doit finaliser le tournage des trois épisodes suivi de la post-production. Très ambitieux, Cyril Chagot conclut en souhaitant «réaliser d’ici 10 ans, un long métrage sous forme de web-séries à plusieurs millions d’euros.»