C’est signé…

C’est signé…

C’est fait ! Les premiers contrats d’avenir en Meuse viennent d’être signés le 27 novembre en préfecture de département entre Isabelle Dilhac, préfète de la Meuse, accompagnée de Bruno Larcher, directeur de l’AMSEAA (Association meusienne de sauvegarde de l’enfance et de l’adolescence), Julien Didry, maire de Bras-sur- Meuse et Alain Doyen, maire de Fromereville. Ce sont les trois premiers employeurs meusiens à jouer la carte de ce dispositif. «Dans un contexte économique très dégradé, la situation d’ensemble des jeunes de 16 à 25 ans sur le marché du travail s’avère particulièrement préoccupante. Les emplois d’avenir constituent une réponse forte pour ouvrir de nouvelles opportunités d’insertion professionnelle aux jeunes peu ou non qualifiés et résidant sur des territoires défavorisés», assure-t-on à la préfecture. Objectif premier de ces contrats : proposer d’ouvrir l’accès à l’emploi et une qualification à ces jeunes. Des jeunes fortement touchés par le chômage en Meuse. Un chômage meusien qui affiche une hausse de + 2.5 % au mois d’octobre.

Commercy

RAS pour le 8ème RA

Une réunion… pour rien ! La semaine dernière, les élus de Commercy et du département ont été reçu à Matignon pour contester la fermeture annoncée du 8ème RA. Un coup pour rien à en croire les dires de Bernard Muller, le maire de Commercy, dans les colonnes de nos confrères de l’Est Républicain. «Il n’y a pas eu d’annonce particulière sinon la confirmation de la suppression du régiment sans compensation immédiate et sans remplacement par une autre unité militaire.» Une prochaine réunion est prévue au mois de mars de l’année prochaine pour faire le point sur le contrat de développement économique de ce territoire meusien.

Risques routiers

Attention à la boue…

Opération sensibilisation pour le Conseil général à destination des agriculteurs au sujet du risque routier et en particulier celui de la boue sur les routes. «Les mauvaises conditions météorologiques ne facilitent pas les travaux agricoles et forestiers. Malheureusement, les professionnels concernés ne peuvent pas toujours attendre un climat favorable pour les entreprises», constate l’exécutif départemental. Conséquence directe des activités agricoles : le dépôt de boue sur les routes. Les services du Conseil général rappellent que «la présence de boue sur la chaussée doit donc être signalée par les responsables de ces dépôts par l’intermédiaire de panneaux d’annonce de danger afin d’inciter les automobilistes à ralentir». A noter qu’en cas d’accident, les professionnels peuvent voir leur responsabilité engagée.