Acrotir écrit à Emmanuel Macron

Laurent Elles, le pilote d’Acrotir Développement, tire la sonnette d’alarme au nom de bon nombre d’entrepreneurs dans une lettre envoyée sous la forme d’une mini-pièce de théâtre au président de la République Emmanuel Macron.

Croissance, activité, commandes, marchés ciblés et pourtant l’entreprise est vouée à tout simplement s’arrêter face «à un système étatique, économique et financier destructeur.» Dixit Laurent Elles, le président de la société Acrotir Développement, dans une lettre datée du 8 février adressée au président de la République Emmanuel Macron. Pas une missive mais un témoignage poignant, amené sous la forme d’une mini-pièce de théâtre, où le narrateur n’est pas loin de s’étrangler comme étouffé par un système qui le broie. L’entrepreneur dévoile le quotidien d’une entreprise saine en croissance mais en perdition.

Intertitre
Cri d’alarme

«La croissance est dévoreuse de cash. L’export est dévoreur de cash. La R&D est dévoreuse de cash (…) Le système se retourne contre l’entreprise, contre ses partenaires, contre ses fournisseurs.» Délais de paiement, retenues de garanties, règlement de l’Urssaf, couverture d’encours auprès des fournisseurs stoppée par l’assureur-crédit, «c’est le coup de grâce». Un cri d’alarme poussé à son nom et en celui d’autres patrons de TPE. «Il faut éviter la mort des entreprises fondamentalement saines (…) Trop souvent les intentions sont louables, mais les mécanismes lourds, dogmatiques et désuets au regard des exigences et contraintes des dirigeants de TPE.» La lettre de Laurent Elles a été reprise (et diffusée largement) par le président de la CCI Grand Nancy Métropole Meurthe-et-Moselle, François Pélissier. «En tant que dirigeant d’entreprise moi-même, je ne changerai bien évidemment pas une ligne de ce récit poignant et réaliste.» Reste à attendre la réponse du président de la République.
Laurent Elles, le pilote d’Acrotir Développement, tire la sonnette d’alarme au nom de bon nombre d’entrepreneurs dans une lettre envoyée sous la forme d’une mini-pièce de théâtre au président de la République Emmanuel Macron. Croissance, activité, commandes, marchés ciblés et pourtant l’entreprise est vouée à tout simplement s’arrêter face «à un système étatique, économique et financier destructeur.» Dixit Laurent Elles, le président de la société Acrotir Développement, dans une lettre datée du 8 février adressée au président de la République Emmanuel Macron. Pas une missive mais un témoignage poignant, amené sous la forme d’une mini-pièce de théâtre, où le narrateur n’est pas loin de s’étrangler comme étouffé par un système qui le broie. L’entrepreneur dévoile le quotidien d’une entreprise saine en croissance mais en perdition. Intertitre Cri d’alarme «La croissance est dévoreuse de cash. L’export est dévoreur de cash. La R&D est dévoreuse de cash (…) Le système se retourne contre l’entreprise, contre ses partenaires, contre ses fournisseurs.» Délais de paiement, retenues de garanties, règlement de l’Urssaf, couverture d’encours auprès des fournisseurs stoppée par l’assureur-crédit, «c’est le coup de grâce». Un cri d’alarme poussé à son nom et en celui d’autres patrons de TPE. «Il faut éviter la mort des entreprises fondamentalement saines (…) Trop souvent les intentions sont louables, mais les mécanismes lourds, dogmatiques et désuets au regard des exigences et contraintes des dirigeants de TPE.» La lettre de Laurent Elles a été reprise (et diffusée largement) par le président de la CCI Grand Nancy Métropole Meurthe-et-Moselle, François Pélissier. «En tant que dirigeant d’entreprise moi-même, je ne changerai bien évidemment pas une ligne de ce récit poignant et réaliste.» Reste à attendre la réponse du président de la République.

Laurent Elles, le pilote d’Acrotir Développement, tire la sonnette d’alarme au nom de bon nombre d’entrepreneurs dans une lettre envoyée sous la forme d’une mini-pièce de théâtre au président de la République Emmanuel Macron.

 Croissance, activité, commandes, marchés ciblés et pourtant l’entreprise est vouée à tout simplement s’arrêter face «à un système étatique, économique et financier destructeur.» Dixit Laurent Elles, le président de la société Acrotir Développement, dans une lettre datée du 8 février adressée au président de la République Emmanuel Macron. Pas une missive mais un témoignage poignant, amené sous la forme d’une mini-pièce de théâtre, où le narrateur n’est pas loin de s’étrangler comme étouffé par un système qui le broie. L’entrepreneur dévoile le quotidien d’une entreprise saine en croissance mais en perdition.

Cri d’alarme

«La croissance est dévoreuse de cash. L’export est dévoreur de cash. La R&D est dévoreuse de cash (…) Le système se retourne contre l’entreprise, contre ses partenaires, contre ses fournisseurs.» Délais de paiement, retenues de garanties, règlement de l’Urssaf, couverture d’encours auprès des fournisseurs stoppée par l’assureur-crédit, «c’est le coup de grâce». Un cri d’alarme poussé à son nom et en celui d’autres patrons de TPE. «Il faut éviter la mort des entreprises fondamentalement saines (…) Trop souvent les intentions sont louables, mais les mécanismes lourds, dogmatiques et désuets au regard des exigences et contraintes des dirigeants de TPE.» La lettre de Laurent Elles a été reprise (et diffusée largement) par le président de la CCI Grand Nancy Métropole Meurthe-et-Moselle, François Pélissier. «En tant que dirigeant d’entreprise moi-même, je ne changerai bien évidemment pas une ligne de ce récit poignant et réaliste.» Reste à attendre la réponse du président de la République.