3 questions à ... Boris Ouarnier

Le Seed4Start, forum transfrontalier de capital-risque (organisé par CCI02Bilan) vient de s’achever après ses étapes nancéienne, luxembourgeoise et belge. 15 start-up du Grand Est ont retenu l’intérêt d’investisseurs privés. Le capital-risque semble avoir le vent en poupe et c’est tant mieux.

Boris Ouarnier: Responsable de CCI02Bilan
Boris Ouarnier: Responsable de CCI02Bilan
Boris Ouarnier: Responsable de CCI02Bilan

Boris Ouarnier: Responsable de CCI02Bilan

1. Le capital-risque est-il véritablement démocratisé dans la région ?
Boris Ouarnier :
La dernière édition du Seed4Start confirme cette tendance bienvenue pour les start-up à la recherche de cash pour continuer à assurer leur développement.

2. Quelle typologie d’investisseurs ciblez-vous ?
B.O :
Il y a une grande mobilisation de la part des réseaux régionaux et nationaux des Business Angels, c’est la grande majorité des investisseurs. En moyenne par start-up, on peut dire qu’une dizaine d’investisseurs sont intéressés. Cette année, quinze start-up du Grand Est ont été sélectionnées, notamment, dans le domaine de la santé connectée.

3. Les modes de financement de type crowdfunding sont-ils aujourd’hui présents ?
B.O :
Nous avons eu une plateforme de financement participatif. Ce type de financement peut être une bonne chose pour boucler un tour de table financier quand il est adossé à des investisseurs aguerris.