Ziani Ferraro L’élégance au masculin
Les élégants et amoureux des beaux vêtements ont une nouvelle adresse à Nancy ! Depuis le 1er août Martine Delattre propose, avec Ziani Ferraro, une sélection de vêtements prêt-à-porter masculins et accessoires chics et sportwear.
Qualité et service ! C’est que viennent chercher les clients chez Ziani Ferraro, la nouvelle boutique de prêt-à-porter masculin, rue Saint-Dizier. Depuis le 1er août, Martine Delattre a repris la gérance de la boutique anciennement connue sous le nom de Gian Alberto Caporale. «C’est une opportunité que j’ai saisie lorsque j’ai appris que l’ancienne propriétaire, qui est une amie, partait à la retraite. Je me suis donné 6 mois de réflexion et j’ai décidé de me lancer.» Un défi pour cette ancienne secrétaire de direction, qui s’est lancée dans l’aventure épaulée par son compagnon et associé Ziane Boumédiene. Mais ici c’est madame qui commande. Sûre de ses choix, Martine Delattre a décidé d’imprimer sa marque en rénovant entièrement les locaux. C’est dans un élégant écrin gris et orange qu’elle accueille et conseille ses clients. Dont une partie était des fidèles de la précédente enseigne. Une clientèle âgée de 30 à 65 ans adepte des belles matières, laine, cachemire et soie, et d’exclusivités. La boutique propose des marques comme Cerruti 1881, Azzaro et Bugatti pour les manteaux élégants et les costumes coupés au cordeau, «nous proposons une gamme de coupes et de tailles variées et des longueurs différentes pour s’adapter à toutes les morphologies».
Sélection pointue
Mais également une gamme de produits plus sportwear avec les marques Gaastra, NZA. Une sélection pointue à laquelle vont bientôt venir s’ajouter, en exclusivité sur Nancy, les lignes New Man et Camel Active. Une exigence et un choix qui ont d’ailleurs séduit le staff du Sluc, «que nous avons le plaisir d’habiller». Les élégants trouveront également toute une gamme d’accessoires, gants, écharpes, chèches, montres ou encore boutons de manchettes pour parfaire leur tenue. C’est ce raffinement et ce sens du détail que Martine Delattre veut aussi appliquer à son service client, «être à l’écoute, conseiller mais surtout ne pas s’imposer et laisser monsieur ou madame décider». Ziani Ferraro, Ziani, en référence à son compagnon et Ferraro pour la sonorité. Un nom qui renvoie à l’élégance à l’italienne et aux costumes sur mesure, à l’image de l’accueil que la maîtresse des lieux vous réserve.
Les hommes et le shopping : mode d’emploi
La majorité des hommes font du shopping par nécessité, «parce qu’il faut bien s’habiller» (46 %). Mais ils sont 40 % à avouer faire du lèche-vitrine par plaisir. Les moins de 25 ans sont même 66% à opter pour cette dernière proposition et les 36-45 ans 52 %. Ce sont finalement les plus âgés qui manifestent leur hostilité envers le lèchevitrine. Les hommes apprécient aussi que ces séances de shopping soient efficaces : quand ils partent faire du lèchevitrine, ils sont 65 % à avoir une idée claire de ce qu’ils pourraient acheter, et ils sont 40 % à estimer passer moins de 20 minutes dans un magasin (28 % moins de 30 minutes). Cette efficacité explique certainement la fréquence de leurs achats, une fois tous les semestres (33 %) ou une fois tous les trimestres (28 %). L’achat de vêtements sur Internet est plutôt boudé par les sondés, puisqu’ils sont 44 % à déclarer n’avoir jamais acheté d’habillement sur le net et de ne pas avoir l’intention de le faire. Ils ne sont que 10 % à faire souvent du shopping sur le web. Côté budget, ces messieurs sont 34 % à déclarer dépenser entre 20 et 50 euros par mois pour l’habillement. Cette proposition arrive en tête dans toutes les catégories d’âge, sauf chez les 46-60 ans qui affirment dépenser moins : entre 0 et 20 euros pour 34 % de cette tranche. Ils ne sont que 5 % à déclarer consacrer plus de 200 euros par mois à leur budget vêtements. Concernant les conseils, 43 % se fient à l’avis «de leur moitié», mais cette réponse diffère en fonction de certaines catégories d’âge. En effet, les 36-45 ans estiment en majorité qu’ils n’ont pas besoin d’aide au moment de choisir leur garde-robe et seuls 14 % apprécient les conseils d’un(e) vendeur (se).
Source : (Enquête Benchmark mars 2012 pour l’Internaute Magazine)