VTPS regroupe ses activités à Menneville

VTPS, spécialisé dans les travaux publics et le génie civil, emménage sur un nouveau site à Menneville.

Désormais, toutes les activités de l’entreprise sont réunies à Menneville.  © Aletheia Press/Olivier Prud’homme
Désormais, toutes les activités de l’entreprise sont réunies à Menneville. © Aletheia Press/Olivier Prud’homme

Au numéro 28 rue des Pierrettes, à Menneville, on peut voir l’enseigne flambant neuve de VTPS, spécialisé dans les travaux publics et le génie civil. L’entreprise, qui était installée auparavant à Colembert, termine son installation sur un site de deux hectares plus adapté pour accueillir sa quarantaine de salariés. Toutes les activités ont été ainsi regroupées dans les 900 m² de locaux couverts abritant bureaux et atelier.

Vingt-cinq ans d’expérience

Le gérant, Samuel Van Strazeele, a démarré sa carrière dans les travaux publics et les aménagements paysagers il y a vingt-cinq ans. Tout d’abord conducteur de travaux en génie civil, il s’est lancé dans l’entrepreneuriat en 2014. « Je suis avant tout passionné par mon métier, le travail et l’expérience font que je suis arrivé à ce résultat. Il y a eu des appels d’offres pour des installations dans les télécommunications, fibres et aussi réseaux divers comme l’électricité auxquels nous avons répondu avec succès. J’ai investi dans un parc matériel neuf et performant et l’équipe a grossi. Au-delà des nombreux chantiers dans le Pas-de-Calais et les Hauts-de-France, nous rayonnons aujourd’hui plus loin » commente le chef d’entreprise qui fêtera cette année ses 50 ans.

Un carnet de commandes fourni

L’entreprise a su saisir les opportunités d’un secteur en pleine expansion, accompagné par des mesures gouvernementales pour le déploiement de la fibre. Ainsi, le haut débit et le très haut débit représentent près de 6 millions de points de raccordements créés en France. « Nous poursuivons nos activités sur le territoire national. Nous avons ainsi des équipes en Indre-et-Loire, en Loire-Atlantique, en Bretagne qui travaillent pour préparer les zones non-couvertes à l’heure actuelle », poursuit le dirigeant dont l’entreprise réalise 5 millions d’euros de chiffre d’affaires.

« Il est un point qui est toujours d’actualité, ce sont les écarts entre territoires. Avec les zones géographiques non urbaines qui nécessitent aussi un raccordement, le travail est considérable. L’enfouissement des réseaux sera la préoccupation de demain. Les raccords aériens cèderont la place, autant que faire se peut, aux fils enterrés, plus esthétiques ». De quoi assurer un avenir serein : « Nous avons un carnet de commandes fourni pour plusieurs années encore » conclut Samuel Van Strazeele.