Un partenaire de qualité

Le magasin d’Essey-lès-Nancy doit fusionner d’ici le mois d’octobre avec l’agence Dupont
Le magasin d’Essey-lès-Nancy doit fusionner d’ici le mois d’octobre avec l’agence Dupont

Le magasin d’Essey-lès-Nancy doit fusionner d’ici le mois d’octobre avec l’agence Dupont

Nom : Andrez-Brajon-Essey. Localisatio : Essey-lès-Nancy. Effectif : 13. Signe particulier : partenariats avec les espaces Aubade et Campingaz.

L’agence fondée en 1999, est dirigé par Ludovic Parisot qui en devient le responsable en 2013, après avoir saisi «l’occasion de récupérer la direction de l’agence.» L’entreprise Andrez-Brajon-Essey a pour coeur de métier la fourniture de
matériels électriques (chauffages, climatisations, électricité industrielle, etc.), et d’outils pour le bâtiment (kärcher, scie circulaire, ou éclairage). Ces deux métiers représentent près de «80 % de l’activité de l’entreprise.» Le rayon d’action du magasin s’étend sur «la plupart des départements de la région, notamment, Nancy et la Meurthe-et-Moselle, la Meuse, et la Moselle.»

Fusion pour de nouvelles opportunités

Le magasin d’Essey-lès-Nancy doit fusionner d’ici le mois d’octobre avec l’agence Dupont, dont la spécialisation touche aux sanitaires et au carrelage. Pour l’heure, la clientèle et les produits du magasin «sont principalement à destination des professionnels (artisans et les PME), qui sont le coeur de l’activité, mais aussi à l’attention des industriels ou des administrations, et plus marginalement vers les particuliers», énonce Ludovic Parisot. Ainsi, près de 90 % du chiffre d’affaires de l’entreprise est issu des métiers de l’électricité (80 % du C.A.), et de la fourniture de bâtiment (10 % du C.A.). Pour se démarquer de la concurrence, l’enseigne mise sur la qualité de son professionnalisme ainsi que sur «le service et les compétences techniques fournies». À terme, la prochaine union entre les deux entités, devrait permettre de drainer une nouvelle clientèle, grâce à un nouveau bâtiment sur Essey-lès-Nancy de «1 800 à 1 900 m2», et le passage de 13 à 15 salariés.
camille.schaub