Soirée Prestige à Poirel La contrebasse

Théâtre. Mardi 12 février 2013 à 20 h 30 à la Salle Poirel, 3, rue Victor Poirel à Nancy. Pour plus d’infos : emmanuelle.giraud2@mairie-nancy.fr

© KateBarry
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© AlexandreMarchi

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Votre bihebdomadaire économique régional, vous donne une nouvelle fois rendez-vous pour une soirée au théâtre sous les ors de la Salle Poirel à Nancy. Les Tablettes Lorraines vous donne, effet l’opportunité d’assister à la représentation de «La contrebasse» dans des conditions privilégiés. Vous serez accueilli par un cocktail de bienvenue avant de rejoindre votre fauteuil 1ère catégorie pour assister à la performance de Clovis Cornillac, que vous pourrez rencontrer autour d’une collation à l’issue de la représentation. L’acteur reprend ce seul en scène écrit par Patrick Süskind l’auteur du bestseller «Le parfum», et qui fit triompher Jacques Villeret en 1991 (Molière du comédien). Ce monologue tragique et drôle d’un contrebassiste décrit avec ironie les dessous de la vie d’orchestre. Un musicien dit avec passion la relation privilégiée qu’il entretient avec son instrument, humanisant à l’extrême l’objet musical de son désir. La contrebasse est l’instrument le plus gros, le plus puissant et le plus indispensable de l’orchestre, le plus beau aussi, dit d’abord le contrebassiste. Mais bientôt, l’éloge pompeux laisse affleurer les frustrations et les rancoeurs du musicien et de l’homme, qui sombre petit à petit vers la solitude… Et, peu à peu, la haine d’abord refoulée de cette encombrante compagne s’exprime, se déchaîne et explose, jusqu’à la folie…

Lou Doillon en concert.

Concert. Jeudi 21 février 2013 à 20 h 30 à L’autre Canal, Boulevard d’Austrasie à Nancy. Pour plus d’infos : www.lautrecanalnancy.fr

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La fille de Jacques Doillon et de Jane Birkin est en passe de faire un nom dans le monde de la musique. On pensait connaître Lou Doillon, l’actrice, l’égérie des créateurs ou encore la styliste, mais on ne savait pas tout. «J’avais les meilleures raisons du monde de ne pas me lancer dans la musique», explique-t-elle simplement. Actrice précoce et mannequin international, la jeune femme cachait donc une autre part d’elle-même, essentielle : la chanteuse. Révélée par le single «I.C.U» au printemps dernier, elle annonçait déjà dans ce morceau, voix troublante, mélodie magnétique, atmosphère vespérale, des lendemains qui chantent. Un premier EP (cd), publié juste avant l’été, n’a fait que confirmer l’intuition. Depuis des années, en secret, Lou jouait de la guitare et écrivait des chansons en anglais, sa «langue intime». Sans Étienne Daho, mélomane insatiable et tuteur bienveillant, elle n’aurait sans doute jamais fait le grand saut. La parution de son premier album, «Places», est une délivrance pour Lou Doillon et marque le début d’une nouvelle carrière. Son titre résume autant la place qu’elle peut désormais occuper sur l’échiquier musical que son parcours personnel. «Places», dévoile de belles ballades aux accents velvétiens, une voix singulière et une soul cuivrée, reflets authentiques d’une artiste entière aux délicates influences. Icônes et inspiratrices discrètes, Patti Smith, Feist, Cat Power et les grandes prêtresses de la soul ne sont jamais bien loin… Un coup d’essai salué par les critiques et la profession puisque Lou Doillon est nommée aux Victoires de la Musique dans les catégories «Artiste féminine» et «Album Rock» pour son album.Un album personnel et touchant que l’artiste défend sur scène à l’occasion d’une tournée dans l’Hexagone. A découvrir !