Poivre Rouge ouvre à Coquelles

Poivre Rouge, enseigne de restauration appartenant à Intermarché, tisse sa toile à travers le territoire national : Coquelles, 84e point de chute, vient de voir l’ouverture de l’établissement de son franchisé Christophe Bednarz. Visite.

M. Christophe Bednarz (à G.) derrière le bar en compagnie de son épouse et du chef de cuisine.
M. Christophe Bednarz (à G.) derrière le bar en compagnie de son épouse et du chef de cuisine.
Hervé Morcrette

Christophe Bednarz (à gauche) derrière le bar, en compagnie de son épouse et du chef de cuisine.

Sur la zone commerciale de La Française, à Coquelles, le groupement Intermarché a fait l’acquisition d’un terrain de 3 000 m² pour y bâtir un restaurant de 450 m² dédié à son enseigne Poivre Rouge. Une construction qui réjouit le franchisé qui dirige l’établissement, Christophe Bednarz, qui parle de «nouvelle génération de bâtiment» et qui est visiblement satisfait de ne pas avoir eu à investir un immeuble ancien. Le restaurant, qui peut accueillir 146 personnes, sera complété aux beaux jours par une terrasse. M. Bednarz est également satisfait de la présence au centre de son restaurant d’un large bar «qui anime la salle».

Déclinaisons locales. Le Poivre Rouge coquellois fonctionne à partir d’une carte nationale qui change deux fois par an : une pour l’été, l’autre pour l’hiver. Ce qui n’empêche pas les déclinaisons locales. C’est ainsi que les clients peuvent déguster la bière des Deux-Caps, chère à Christophe Noyon, chez M. Bednarz. Celui-ci met en avant le buffet, chargé de charcuterie, de produits de la mer et de légumes que les clients peuvent fréquenter indifféremment à l’entrée comme au moment du plat. Pour le reste, le grill, viande ou poisson, peut apaiser les plus larges faims…

Dix-huit emplois créés. Poivre Rouge accueille sa clientèle sept jours sur sept, midi et soir. Si la Côte d’Opale fournit la part la plus importante de la clientèle, d’autres viennent de l’extérieur. Sur la dizaine de jours de fonctionnement qui s’était écoulée depuis l’ouverture lorsque nous avons rencontré M. Bednarz, celui-ci a relevé la présence «de quinze à vingt clients anglais en moyenne par jour». Quant aux Belges, Christophe Bednarz estimait, non sans humour, «qu’ils sont plus difficiles à détecter»… En se félicitant «du bon accueil des pouvoirs locaux», le restaurateur ne manque pas de souligner que l’ouverture du Poivre Rouge de Coquelles a généré la création de dix-huit emplois