Premiers rayons de soleil riment avec retour sur les routes des «motards du dimanche» ! Histoire de rappeler aux dévoreurs de bitume occasionnels et aux invétérés de la grosse cylindrée qui roulent tous les jours et en tous temps (c’est çà un vrai motard…), l’opération «En Meuse, à moto, en sécurité» continue ! Après un passage du côté de la gendarmerie de Montmédy dimanche dernier, de nouvelles journées de sensibilisation sont organisées : le 5 mai au quartier Bayard de Bellevillesur- Meuse, le 19 mai au quartier de Moncey de Bar-le- Duc et le 26 mai à la caserne de gendarmerie de Commercy. Au programme : plateau de maniabilité et conduite sur route. À noter que le nombre de places est limité à vingtcinq. Les inscriptions sont donc obligatoires sur le www.meuse.gouv.fr.
Agroalimentaire
Garot à l’écoute
Entreprise Berni de Verdun. Le groupe coopératif EMC2 et l’Union laitière de la Meuse de Bras-sur-Meuse. Point commun : l’agroalimentaire, une filière dans le doute et qui attend des réponses. Guillaume Garot, le ministre délégué à l’agroalimentaire était de passage dans le département à la rencontre de ces professionnels le 19 avril. Ceux-ci ont apprécié la visite de «leur» ministre venu se rendre compte des réalités sur le terrain. Les sujets d’inquiétudes sont nombreux pour le secteur, notamment dans la filière laitière ou encore sur les quotas de céréales octroyés pour le biocarburant jugés insuffisants pour les professionnels de ce secteur spécifique. Le ministre n’a pas apporté toutes les solutions mais a tenté de rassurer.
Élections locales
Namy signe… contre
Contre le projet de loi réformant les élections locales ! Christian Namy, le président du Conseil général et sénateur de la Meuse, comme 147 sénateurs, a cosigné un recours devant le Conseil constitutionnel. «Je suis hostile à la création de binômes de conseillers départementaux. Ce système ubuesque va compliquer le fonctionnement de nos collectivités locales. Il va créer la confusion chez les citoyens qui ne sauront plus à qui s’adresser», assure le président de l’exécutif meusien. «Ce projet impose également un redécoupage des cantons sur des critères essentiellement démographiques, au mépris de la réalité des territoires. À partir de 2015, la carte de la Meuse sera complètement déséquilibrée, avec des petits cantons, correspondant aux villes, et des cantons très vastes, couvrant les secteurs les plus isolés. La vie de notre département va s’en trouver affectée, la ruralité encore un peu plus affaiblie.» Reste à attendre le résultat du recours demandé.