Le Stylo PDF Gesway s’ouvre de nouveaux marchés !
Un nouveau portail depuis avril, de nouvelles sociétés clientes qui la rejoignent et une communication plus conquérante, la PME Gesway intensifie la diffusion de son Stylo PDF électronique.
Il est tout noir, tout beau, un peu ventru (normal vu l’électronique qu’il contient). De loin il ressemble à un stylo plume des années trente mais de près, c’est autre chose… Gesway solutions fait partie de ces PME innovantes qui se sont montées autour de groupes de chercheurs, toutes rassemblées sur la Haute-Borne à Villeneuve-d’Ascq, le parc scientifique qui concentre la recherche en hautes technologies1. Etienne Pruvost et Gesway, arrivés sur ce parc en 2007, négocient un premier virage en 2000 après quatre ans dédiés à la gestion d’entreprise par informatique, en resserrant de plus en plus l’offre autour du BTP. Plusieurs plates-formes sont conçues − NMD, Navibat puis NaviOne (maintenance industrielle) −, et enfin des acquisitions avec, par exemple, Demarle, vente en réunion dans de complexes systèmes de régénération, sans oublier le rachat de Progib à Creil (génie climatique et électrique). Entre 2005 et 2009, le marché s’est considérablement étendu : plus de 300 références, la plupart internationales, mais exclusivement des PME de 50 à 500 salariés pas plus, une volonté de l’équipe Gesway. Logiquement, la PME villeneuvoise attaque le marché parisien, bref la réussite est au rendez-vous (CA non communiqué − environ 2 M€ pour les trois sociétés de Gesway, source Internet − mais dont l’objectif est de doubler aujourd’hui).
Fournir des solutions mobiles à toutes ses activités de service avec le stylo PDF. Après plusieurs tentatives comme le Pocket PC, toujours actif mais minoritaire car onéreux et limité dans son utilisation, Etienne Pruvost découvre «Anoto», une technologie scandinave qui raccourcit à deux jours le délai de facturation. Encore fallait-il que ce prototype colle avec les nombreuses particularités des entreprises françaises. Mais malgré ce marché en mosaïque, le procédé se «francise» et s’améliore au point qu’un stylo est au point, ne mettant lui aussi que 2 minutes pour transmettre au client sa facture. On passe par un téléphone tout simple disposant de la 3G qui fabrique un PDF alors véhiculé et exploitable à l’infini sur tous les supports et écrans possibles. La saisie se fait simplement sur une facture papier un peu particulière puis qu’ayant été dotée préalablement d’emplacements spéciaux où coucher les données nécessaires. Ni plus ni moins comparable à n’importe quel document administratif à remplir mais cette fois très soigneusement et lisiblement , du genre «cochez la case» et «datez et signez-là» ! Outre la rapidité, le procédé admet les plans et croquis, mais aussi la photo d’une pièce cassée qu’il a fallu remplacer, le tout ouvrant instantanément un marché quasi illimité à des professions telles que le transport et la livraison, les hôpitaux, les agences immobilières, les contrôles automobiles, la maintenance industrielle, tout le secteur public, les enquêtes, les architectes (avec l’application Shareplan), etc.
Les trois dernières nouveautés concernent donc l’ouverture d’un site internet actif organisant de nouvelles étapes dans la relation client-prestataire, par exemple pour la maintenance avec Eiffage Forclum, Ramery. La filière des livraisons s’est activée ainsi que des PME de maintenance : Salti location (40 salariés concernés au quotidien par l’utilisation à 100% du stylo), la société de Loos-lez-Lille Cleaning-Bio pour le contrôle qualité, Euromat’ equip à Rinxent (maintenance d’engins de chantiers, groupes électrogènes dans l’industrie), le Belge Ekopak , tous établissant des milliers de bordereaux par mois.
La solution Stylo PDF (forfait de 45 € par mois et par stylo) correspond aux exigences du Développement durable car il limite tout : les déplacements, l’utilisation de tonnes de paperasses, de coups de téléphone, toutes ces étapes énergivores, le bilan carbone se militant au process. Sans oublier l’acte final, l’archivage des factures qui se fait virtuellement.
1. Voir La Gazette du 4 novembre 2011.