Le Petit Marché des Filles : Une cuisine incontournable

Le restaurant est situé sur le technopôle de Brabois dans la commune de Vandoeuvre-les-Nancy.
Le restaurant est situé sur le technopôle de Brabois dans la commune de Vandoeuvre-les-Nancy.

Le Petit Marché des Filles a vu le jour en novembre 2013. Implanté à Vandœuvre-les-Nancy, le restaurant bistronomique est géré par Émilie Joannes-Grotz et Julie Pierre, deux sœurs inséparables.

Filles de restaurateurs, les deux sœurs ont passé une dizaine d’années d’expérience aux postes de commerciale pour Julie et à celui de chef des ventes pour Émilie avant de prendre un virage professionnel et se lancer dans leur projet commun. «Notre décision faisait suite à notre envie de se réaliser en tant que chefs d’entreprise, retrouver l’ambiance de la restauration connue durant notre jeunesse et travailler ensemble toutes les deux» annonce Émilie. L’établissement met en avant la restauration de manière bistronomique avec uniquement des produits frais et de saison. Il propose des cocktails dînatoires les soirs et les week-ends pour divers événements ainsi que des repas à table sur demande.

Une qualité irréprochable

«Cela fait 7 ans que nous sommes installées et nous nous remettons en question sans cesse afin de recevoir nos clients dans les meilleures conditions, nous suivons les tendances culinaires que nous affectionnons toutes les deux, l’accueil et la qualité des mets sont nos priorités», souligne l’une des associées. Ces dernières mettent à disposition des clients deux salons privatifs permettant de les isoler afin de poursuivre une réunion professionnelle autour de leur repas. Les cogérantes s’adaptent également aux personnes ayant des demandes spécifiques telles celles des intolérants au gluten et des végétariens pour qui elles ont un plat et un dessert différents disponibles chaque semaine. «Aujourd’hui, avec le contexte sanitaire lié à la Covid-19, notre plus grand défi est de recevoir nos chers clients dans les meilleures conditions tout en respectant les gestes barrières», conclut-elle