Le bonheur est dans le gène

La psychologue Florence Servan-Schreiber est venue divulguer ses bons conseils à l’occasion des vingt ans du groupe des Femmes dirigeantes du Bâtiment de Meurthe-et-Moselle le 15 septembre dernier, dans les grands salons de l’Hôtel de ville de Nancy. Oxygénant…

Florence Servan-Schreiber, «professeur de bonheur», est venue divulguer ses bons conseils le 15 septembre face aux Femmes dirigeantes du Bâtiment à Nancy.
Florence Servan-Schreiber, «professeur de bonheur», est venue divulguer ses bons conseils le 15 septembre face aux Femmes dirigeantes du Bâtiment à Nancy.
Florence Servan-Schreiber, «professeur de bonheur», est venue divulguer ses bons conseils le 15 septembre face aux Femmes dirigeantes du Bâtiment à Nancy.

Florence Servan-Schreiber, «professeur de bonheur», est venue divulguer ses bons conseils le 15 septembre face aux Femmes dirigeantes du Bâtiment à Nancy.

C’est quand le bonheur ? C’était (un peu) le 15 septembre sur les coups de 11 heures dans les grands salons de l’Hôtel de ville de Nancy. La psychologue, Florence Servan-Schreiber, «professeur de bonheur» comme elle se définit, embarque son auditoire dans son joli petit voyage à la quête du bonheur et «des super-pouvoirs qui sont en nous». Psychologie positive, maîtrise de ses forces de caractère en passant par l’identification de ses talents et les éternelles vertus de l’optimisme et de la gratitude. L’exposé est vif, sympathique, interactif… que du bonheur ! «Qu’est-ce qui vous rend heureux ?», interroge l’auteur de «3 kifs par jour et autres rituels recommandés par la science du bonheur» (un best-seller en 2011).

Bonnes pratiques

Réponses : «l’amour, la santé», mais aussi plus terre à terre «les commandes, les clients», et «les hommes». Pas de chance pour le coup, ils sont peu nombreux dans les travées ce jour-là. Un peu normal, l’intervention de Madame Bonheur est le temps fort des vingt ans des Femmes dirigeantes du Bâtiment de Meurthe-et-Moselle. Elles sont toutes là ou presque, la soixantaine de membres du département mais également celles du Grand Est. Les bonnes pratiques sont distillées, enregistrées et notées, histoire de ne pas les oublier. Même si le gène du bonheur est présent en chacun de nous, il se travaille, se développe, s’entretient. Au fl de l’exposé, tout le monde semble y trouver son compte. Une parenthèse optimiste bienvenue dans ces temps mouvementés.